1. Perdre pied


    Datte: 04/12/2018, Catégories: ff, fhh, 2couples, couplus, cocus, vacances, bain, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession,

    ... qui me valorisent, de Léa ? Suis-je un débauché d’apprécier que Martine se cambre pour mieux s’offrir ? Suis-je sadique, heureux de la voir bousculée par les assauts de l’homme au point qu’elle doit s’accrocher au bord de la piscine ? Mais si c’est le cas, alors je ne me sens pas seul. Martine, labourée, chahutée, enfilée profond ne cesse de me regarder, de nous regarder. Et elle a une vue non pas plongeante, mais de dessous qui doit lui permettre de détailler et de constater que son mari empale une autre. Est-elle fière de moi ? Comme moi je suis fière d’elle ? Oui, cette femme, c’est la mienne. Et celle que j’honore de ma bite gonflée, puissante, c’est celle de Marc. Trente années nous séparent, mais l’empressement que Marc met à baiser Martine montre que cela ne compte pas. Et à ce que j’entends de Léa, je me sens encore bien vert, au point de pousser cette gamine dans ses derniers retranchements. La salope n’a pas peur d’avouer à tous qu’elle jouit de moi. Oui, Martine, tu peux être fière de ton mari… mais tu as autre chose à penser alors que, manifestement, ta propre jouissance t’envahit. La solidarité des hommes est parfaite. Lui comme moi avons attendu – mais c’est plus facile pour lui que l’eau de la piscine doit calmer – que nos maîtresses jouissent pour nous lâcher. J’avais oublié combien c’est frustrant de cracher la sauce dans une capote alors que le rêve de tout homme est d’inonder sa femelle, et mieux encore de la féconder. Le temps semble s’arrêter. Tout est ...
    ... immobile. Nous sommes figés, saisis par la jouissance, laissant le plaisir refluer. Refluer le plus lentement possible car tout semble soudainement moins normal. Je suis littéralement couché sur Léa. Marc est collé contre Martine. Ce qui paraissait excitant devient dérangeant. Je me redresse, libérant ma partenaire. Nous dégageons ainsi l’escalier où Martine puis Marc montent vers nous. Lui a l’air un peu ridicule avec la capote qui pendouille, mais cela me rappelle que moi aussi j’ai encore ce truc. Je l’enlève, encore plus ridicule, ne sachant qu’en faire. C’est Léa qui me sauve en me tendant une poubelle, poubelle qui reçoit aussi celle de Marc. Martine et moi nous nous regardons, mal à l’aise, conscients de ce qui vient de se passer. Pourtant nulle drogue, nulle ivresse ne peut expliquer ce moment de folie. Elle s’approche, se colle dans mes bras qui se referment sur elle, protecteurs mais aussi possessifs. — Excuse-moi… me susurre-t-elle à l’oreille.— Je suis encore plus fautif que toi, je réponds. Notre gêne n’échappe pas à nos hôtes. Eux, d’après les aveux de Léa, doivent avoir l’habitude. Pas nous. — Venez ! lance l’homme en nous indiquant les transats. Puis, sur le ton d’une confidence : — Ne vous sentez pas coupables. C’est normal. Tout le monde passe par là, la première fois. Du moins ceux dont le couple est stable et lié par l’amour. Car c’est l’amour qui apporte cette excitation sexuelle lorsque son conjoint a du plaisir avec un autre. Je ne peux m’empêcher d’être ...
«12...8910...17»