Elle me pardonnerait
Datte: 08/08/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
fépilée,
forêt,
amour,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hgode,
... Allez, suce ! Suce salope ! Ces mots ne franchissent pas mes lèvres parce que je respecte notre accord, mais je l’insulte en pensée. Il faut dire qu’elle se comporte comme une sacrée cochonne. Elle remplit bien mes espérances et même au-delà. Mon sexe pointe désormais comme un bâton tendu vers le ciel. Je la retourne. J’ai toujours adoré la levrette, peut-être parce que je n’ai jamais osé l’imposer à Anaïs. Celle-là, en tous cas, n’y échappera pas. A quatre pattes devant moi, le cul en hauteur, elle attend. J’arrive. D’un coup, je la pénètre. Je m’enfonce et la ramone à toute vitesse. Je m’accroche à ses hanches pour lui donner des coups de butoir toujours plus brutaux. Je me venge sur elle de ces nuits que ma femme m’interdit et que son mari lui refuse. Je rattrape toutes ces baises dont nous avons été privés. Je caresse son anus toujours entrouvert et m’interromps pour le lui lécher. Ses lèvres lisses sont gonflées. Ses seins pendent tels des mamelles. Je les malaxe, les triture, les maltraite. Elle écarte davantage les jambes. Je reviens en elle et reprends la cadence. Elle est bonne, bonne, bonne, sa fente s’ouvre et me laisse s’engouffrer en elle, son corps me réclame cette chienne, elle en veut, elle aime ça. Merde ! Sous le coup du plaisir, j’ai parlé… Je la sens se crisper sous moi. Elle a même un mouvement pour se relever. Je la maintiens du bras droit et explose au plus profond de ses entrailles. Exténué, je roule sur le côté tandis qu’elle se détend. Je suis ...
... comblé. Je l’ai léchée, doigtée, enculée, baisée. Elle m’a sucé. Tout ce que j’aime, moi qui me limite d’habitude au sinistre missionnaire que j’ai pris soin d’éviter ce soir. Lors de notre échange sur la messagerie, elle m’avait averti qu’elle se livrerait ensuite à quelques jeux sur moi ; jeux sans gravité, m’avait-elle assurée lorsque je lui avais fait part de mon désaccord quant aux pratiques sm. Elle m’invite alors à me mettre à plat ventre. Je m’exécute. Elle me chevauche et m’enduit le corps d’une huile de massage onctueuse. Ses doigts appuient sur mes muscles. Je sens une chaleur m’envahir. J’apprécie son initiative. Mmm… quel bel épilogue ! Elle se couche sur moi. Ses seins glissent dans mon dos. Elle frotte son sexe sur moi, se masturbe sur moi, mêlant son foutre à l’huile. Je crois même qu’elle introduit mon talon au bord de sa chatte. Je ne regrette pas d’avoir promis la plus grande docilité. Que se passe-t-il ? Elle fait courir ses mains sur mon dos, me griffant légèrement. Ses ongles pénètrent superficiellement dans ma peau. Un délicieux supplice, même si le contact d’une bague sans doute, picote insidieusement. Je ne m’étonne pas non plus quand elle pose son pouce sur ma rondelle. Un frisson me parcourt même. Je dois avouer que si je n’ai jamais osé cette caresse, ce n’était pas faute d’envie mais plutôt en raison de vieux tabous. Voilà l’occasion de lever ces limites ! Mais quoi ? Que fait-elle ? Les caresses se font plus insistantes. Non, elle ne va quand même pas. ...