1. Le "G", le ripou et les belles nanas (2ème partie)


    Datte: 06/12/2018, Catégories: fh, voiture, Oral fsodo,

    ... : on s’est vautrés comme deux gros sacs de merde ! Un véritable choc, qui me coupa le souffle, d’autant plus que Warda m’atterrit dessus. — Arrgh ! hurlé-je, sous la douleur. Je roule sur moi-même et me retrouve la tête collée au cul de ma belle beurette intrépide. Elle se redresse, haletante, les cheveux partant dans tous les sens. — Oh putain, c’était extra ! fait-elle. Incrédule, je la regarde. Extra ? Moi, mon cœur va exploser tellement j’ai eu les foies ! — On recommence, allez ! Je me redresse péniblement et la prends par le bras. — Non, merci, fais-je, courbaturé de partout. T’es dingue !— Mais ce n’était pas extra comme sensation ? Le vide, l’apesanteur, le…— Ouais, c’était génial. Mais pour l’instant, on va se barrer, et rapidos !— Non, mais franchement, j’avais jamais ressenti ça, c’est encore meilleur qu’un orgasme, d’ailleurs le pied ultime ça doit être de jouir en faisant un saut comme ça ! Que pouvais-je répondre à ça ? Nous traversons le toit à toute allure, jusqu’à l’escalier de secours. J’ai l’impression d’entendre les sirènes des flics partout autour de nous. Warda ouvre la porte et jette un œil. — C’est bon, y’a personne. C’est quoi le plan ?— On descend, on prend une caisse, on se barre et ensuite je réfléchis à comment coincer l’enfoiré qui a cru bon de me tendre un piège. On descend à toute allure et j’espère ne pas croiser un flic… Mais la bonne étoile veille sur moi. On se retrouve dans le hall, et j’entends les sirènes des voitures qui sont juste à ...
    ... côté. Va falloir sortir de là, traverser le quartier et ensuite prendre une voiture… Tout ça sans se faire repérer. Parce que cet enfoiré a dû donner mon signalement… Ou alors pas ? J’en savais rien. J’inspire profondément alors que Warda ne s’est toujours pas remise du saut entre les immeubles. Elle n’est pas nette, celle-là. Je jette un œil dans la rue et vois en face, un peu plus loin, deux voitures de flics garées en face de chez moi. Avec une grimace, j’attrape ma belle beurette par le bras et prenant notre courage à deux mains, nous sortons dans la rue. C’est difficile de marcher en ayant l’air de n’avoir rien à se reprocher. Essayer de faire taire les battements de son cœur, avoir l’air normal… Heureusement que c’est la nuit, et qu’il n’y a personne dans les rues. Je dois résister à l’envie de piquer un putain de sprint. Je n’arrive pas à croire en ma chance. Warda marche à côté de moi. — Te retourne pas, lui dis-je.— Je ne suis pas aussi conne que ça, quand même ! me jette-t-elle.— Pourquoi t’as voulu me suivre ? Tu veux avoir des ennuis ?— Non, mais… Elle hausse les épaules. On tourne à droite pour déboucher dans une autre rue. Aucune voiture de flics à l’horizon. Bon, maintenant, il s’agit d’emprunter une voiture… N’importe laquelle fera l’affaire. Je remonte la rue et remarque une petite caisse noire tout ce qu’il y a de plus banal. — Tu sais ouvrir les caisses sans les clés ? me demande Warda.— Bah ! ça fait un moment que je n’ai pas fait ça, mais ça ne s’oublie ...
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