1. Le "G", le ripou et les belles nanas (2ème partie)


    Datte: 06/12/2018, Catégories: fh, voiture, Oral fsodo,

    ... bien-être intense, l’impression d’être au paradis. Warda ondule du bassin, me signifiant que je peux accélérer, ce que je fais sans me faire prier, m’enfonçant le plus possible en elle, tentant de ne pas trop la blesser. — Oh c’est bon… Hmm… Mais comment j’ai fait pour vivre sans ta queue avant ? J’éclate presque de rire. Cette nana est complètement barge. J’accélère davantage, entrant à fond et ressortant presque de son cul, puis m’enfonçant de nouveau en elle, presque jusqu’à la garde. — Oui, oh j’aime ça, oui, encore, encore, encore !! Elle se met en route pour un orgasme, je le lis sur son visage crispé, son expression suppliante, alors je continue, j’imprègne le même rythme sans faiblir. De plus en plus vite, de plus en plus intense. Pour moi aussi, le plaisir extrême ne va pas tarder, à ce rythme. — Oui ! Oui ! Son corps se soulève dans un spasme. Elle hurle, tente de m’agripper, les yeux clos. Warda se cambre soudain et pousse un long cri, les contractions de son anus autour de ma bite sont délicieuses. — Oui ! Oui !! Elle retombe épuisée, en sueur, un sourire béat sur les lèvres. Je me retire doucement d’elle pour ne pas la blesser, aux portes de l’éjaculation. Elle se redresse tant bien que mal, glisse à moitié du capot de la voiture, se met à genoux devant moi et saisit mon membre tendu dans sa main. C’est alors que mon portable se met à sonner. — Merde ! Tu veux bien me le passer ? Ma partenaire fouille les poches de mon froc tombé à mes pieds et en sort ...
    ... mon téléphone. Elle me le tend, puis ouvre grand la bouche et engloutit mon membre d’un coup. Je pousse un gémissement, puis tente de me contrôler, et décroche. — Ouais.— C’est Cali. J’ai l’adresse de ton bonhomme. Un large sourire, décuplé par le plaisir procuré par la bouche de Warda, se dessine sur mon visage. — Génial.— Je t’envoie l’adresse par texto ?— Ouais.— C’est un flic, mais vu son dossier, ça m’a l’air d’être un corrompu. Fais gaffe, mec.— Ne t’en fais pas pour moi… Je raccroche et contemple Warda, occupée à me téter le gland, m’envoyant des ondes de chaleur dans tout le corps. — Hmm… Quelques secondes de ce traitement et je sens soudain que je vais perdre pied. J’attrape ma queue et sors de sa bouche. Warda comprend le message et ouvre grand la bouche. Un incroyable frisson me traverse et cinq jets épais de sperme atterrissent sur son visage, sur ses joues, ses lèvres et sur son menton. Chaque jet m’arrache un cri d’extase, accompagnant la sensation que la terre s’ouvre sous mes pieds. — Ah… Ma belle beurette se passe la langue sur les lèvres. Nos yeux se croisent. Un large sourire vient éclairer son si beau visage. Moi aussi, mais pas pour les mêmes raisons. Moi, parce que je pense à la tête que va faire ce pourri lorsqu’il me trouvera chez lui. La vengeance est un plat qui se mange froid, il paraît. Warda prend ma main et se relève péniblement, le visage inondé de mon sperme. — Et maintenant ? me demande-t-elle. Je ne réponds pas et souris davantage. 
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