1. Une question d'honneur


    Datte: 07/12/2018, Catégories: fh, fsoumise, fdomine, soubrette, vengeance, fsodo,

    ... longues minutes sans dire un mot. Puis ce fut la duchesse qui rompit cet embarrassant silence. Cet intermède ne devait en rien changer l’ordre naturel des choses. — Merci pour votre dévouement, Verkran, je tâcherai d’oublier l’accident de la meunière. Mais j’ai un invité à accueillir maintenant. Je ne veux plus vous voir de la soirée. Elle était en effet, désormais prête à accueillir son invité. Il n’obtiendrait rien. Rien si ce n’est, ce qu’elle aura envie de donner. Elle ne devait pas faillir. — --------------------------------------- Le comte de Dranguard attendait patiemment dans la grande salle de réception du château de Winterfell, quand elle entra avec sa grâce et sa dignité habituelle. D’ordinaire, c’était son serviteur, un espèce de jeune idiot, qui venait le chercher et l’introduisait dans les appartements de sa maîtresse. La venue de la duchesse en personne, cette fois-ci, ne pouvait qu’augurer un bon déroulement pour la suite. — Messire le comte, c’est une joie de vous revoir. Vous m’aurez excusé ce léger retard, j’avais quelques affaires à régler, et je ne peux compter sur mon serviteur ce soir. Toujours ce même ton assuré et enjoué, et chargé d’une bonne dose d’hypocrisie. Et, bien sûr, pour le reste, toujours aussi appétissante et désirable. Etre reçu chez elle lui rappelait leur dernière escapade, il y a plusieurs mois déjà : il voulait son cul, et avait finalement dû se contenter de quelques brèves galipettes. Il n’était toutefois pas ici pour la même chose ...
    ... cette fois, et la partie était loin d’être gagnée. Aussi adopta-t-il un ton qui se voulait un brin presque cassant et incisif. — Madame, je ne saurai dire si la joie est partagée. Car vous savez, que c’est une raison bien peu… amicale, qui motive ma venue.— Oui, mon cher Dranguard. Je suis réellement navré de ce qui a pu vous arriver ; mais croyez bien que j’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour que nous n’en arrivions pas là. Le comte jugea bon de ne rien répliquer à cet étalage d’hypocrisie et de mauvaise foi. La garce pouvait bien jouer son numéro, il ne la connaissait que trop bien désormais. Après l’avoir dépossédé et humilié devant la moitié de la cour, elle affectait encore d’avoir de la compassion et de la désolation à son égard. Il pouvait bien lui laisser mener le jeu jusqu’ici, elle ne perdrait rien pour attendre. — Mais suivez-moi donc dans mes appartements, nous n’en serons que mieux pour discutailler, poursuivit-elle.— Avec plaisir, dame Jaessa. Et de bonne grâce, il la suivit, à travers le long dédale de couloirs qui les amenait dans ses appartements privés. Ce faisant, il profita de la situation pour mater cette paire de fesses qui se trimbalait au gré des pas de la duchesse, plus que jamais appétissante. S’il n’était pas initialement là pour ça, il aurait été dommage de se priver de ce spectacle visuel toujours aussi agréable. Les lieux n’avaient guère changé depuis la dernière fois. La pièce était toujours aussi bien entretenue, et si propice à des ...
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