1. Une question d'honneur


    Datte: 07/12/2018, Catégories: fh, fsoumise, fdomine, soubrette, vengeance, fsodo,

    ... Vous avez tout perdu, comte.— Je sauverai au moins l’honneur, dame Jaessa. Et d’un geste tout aussi brusque, mais soigneusement dosé et mesuré, il la retourna sur la table. Celle-ci fit bien mine de se débattre, de tenter de s’échapper à son emprise, mais la tentative était bien trop timide pour être sincère. Elle avait tout autant envie que lui, et, à défaut de retrouver quoi que ce soit d’autre, il allait lui donner ce qu’elle voulait et plus encore. Il sentait ce petit cul au contact de son bassin, et l’envie de se le faire avait atteint son paroxysme. — Vous n’allez pas avoir besoin de ça, fit-il d’une voix sourde. Il ne lui fallut quelques secondes pour déchirer une partie de la robe – décidément extrêmement fragile, à croire qu’elle était faite pour ça –, révélant les fesses et les cuisses de la duchesse. Une main ferme allait immédiatement caresser furtivement son entrecuisse, avant d’empoigner tour à tour chacune de ses fesses si fermes et si appétissantes. La nouvelle tentative de Jaessa de se libérer de cette emprise était aussi vaine que simulée. Elle ne devait probablement pas détester sentir des mains fermes et décidées empoigner ses fesses. — Je m’étais juré de vous enculer, et je le ferai. Ça au moins, je l’aurai.— Vous parlez beaucoup, mais ne faites rien, Dranguard. Elle avait beau tenter de faire la maligne, il était bien décidé, pourtant, à agir. Le contact de ses fesses était tellement délicieux qu’il aurait pu encore poursuivre de longues minutes ses ...
    ... caresses. Mais son plus fort désir était bien d’y fourrer son sexe, et de faire taire cette garce en lui faisant son affaire. Celle-ci semblait alors comme résignée – si ce n’est excitée ? -, ses timides tentatives pour se débattre ayant cessées. Alors, ses mains cessèrent leurs explorations pour empoigner vivement les fesses de la garce, et les écarter de chaque côté. Le trou ainsi mis en évidence semblait comme dans l’attente de son sauveur. Il voulait l’enculer là, tout de suite, d’un seul coup, sans préparation. Un cul comme ça, c’est dans sa nature profonde d’être sodomisé. Et il le fit sans plus de préparation. Son sexe était entré aisément, comme si la nature avait forgé ce cul pour l’accueillir. Quand il fut entièrement en elle, le comte savoura pleinement la sensation. Jamais il ne s’était senti aussi bien, aussi à l’aise que maintenant. Jamais un cul n’avait été aussi confortable, aussi avenant. Mais il ne chôma pas pour autant. Une fois habitué à la relative étroitesse des lieux, il commença de puissants va-et-vient, décidé à exploiter jusqu’au bout ce cul qui s’était si longuement fait désirer. — Je sens rien, Dranguard. Même mon valet fait mieux. Il jugea bon de ne pas répliquer autrement qu’en poussant de furieux coups de reins. La garce ne tarderait pas à changer de discours et hurler son plaisir. Une partie de lui-même peinait encore à réaliser qu’il était bien en train de sodomiser la duchesse de Kern, là, debout, et sur sa propre table. — Ça vous excite, Jaessa, ...