1. Une question d'honneur


    Datte: 07/12/2018, Catégories: fh, fsoumise, fdomine, soubrette, vengeance, fsodo,

    ... ce moment crucial. Il avait beau être d’un naturel serviable et discret, un échec pourrait avoir de fâcheuses conséquences. — Oui, Madame, s’empressa de répondre ce dernier, qui semblait toujours s’efforcer, non sans mal, de regarder fixement le sol.— Approchez-vous, Verkran. Le zélé serviteur marqua aussitôt quelques pas, avec un regard partagé entre la surprise et la crainte. — Je veux savoir une chose, Verkran, et répondez-moi sans détour. J’ai eu vent de certaines rumeurs vous concernant, vous et… la fille du meunier. Sont-elles avérées ? Dans le miroir, la duchesse avait vu virer au rouge le visage de son interlocuteur. Dans ses yeux, se lisaient désormais la gêne, mais aussi la crainte. — Madame… plus jamais je ne… pardonnez-moi Madame, je sais que ce n’est point mon rôle, je… La duchesse le regardait faire, fixant sévèrement ses yeux à travers le miroir. Voir la mine déconfite de son serviteur était un spectacle pour le moins amusant. Il semblait totalement pris au dépourvu, saisi d’une gêne terrible, et s’attendant probablement à de funestes conséquences. Elle mit toutefois un terme à cette observation, en interrompant ses timides tentatives de justifications. — Vous savez parfaitement ce que vous encourez Verkran. Et que, ce faisant, vous faites bien peu honneur à ma maison. Je peux toutefois passer l’éponge, et me garder de prendre les mesures qui s’imposent. Immédiatement se lut dans les yeux de son serviteur un immense soulagement. — Je n’approuverai pas pour ...
    ... autant ces comportements toutefois, ajouta-t-elle dans un même élan. J’espère que vous vous souviendrez de mon indulgence. La gêne et la honte de Verkran devenaient plus marquées chaque seconde qui passait. Ses yeux, plus que jamais, étaient honteusement fixés vers le sol. Mais elle ne lui laissa pas le temps d’articuler quelque réponse que ce soit, à ce qui était une affirmation. — Dites-moi, Verkran… et relevez donc ce visage, bon sang ! Est-ce que la silhouette de votre duchesse vous gêne à ce point ?— Non, Madame, mais je… je ne me permettrais pas, je…— Maintenant, je vous permets. Alors relevez les yeux. Et regardez. Passé sa surprise, Verkran ne fit guère de difficultés pour obéir à cet ordre inattendu. Ses yeux désormais, dévoraient avec avidité les courbes de sa maîtresse. Le spectacle devait probablement être plus agréable que la vue des modestes tapis de la maisonnée. — Voilà qui est mieux, continua la duchesse, tout en continuant d’observer les réactions de son serviteur à travers le miroir. Maintenant, je vais vous poser une question. Dites-moi, sans détour, ce que vous pensez de votre duchesse… physiquement ? La mine déconfite de Verkran montrait toute l’étendue de sa surprise. Il eut la grâce de ne pas la faire répéter, ayant parfaitement entendu – aussi inattendue soit-elle – la requête de sa maîtresse. Aussi attarda-t-il avec plus d’insistance son regard sur le corps qui lui faisait face. Des jambes aux fesses, c’est irrémédiablement vers le bas que ses yeux ...
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