Une question d'honneur
Datte: 07/12/2018,
Catégories:
fh,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
vengeance,
fsodo,
... d’être le premier. Alors… Je veux que vous me sodomisiez, Verkran. Une nouvelle fois, c’est un silence prolongé, puissant et brutal, qui s’imposa. Verkran, muet, restait immobile, comme sidéré et pétrifié par une telle demande. — Madame ? finit-il par dire, se demandant sans doute une énième fois s’il n’était pas en train de rêver ou d’être la proie de quelque manipulation.— C’est un ordre de votre duchesse, Verkran. Et je ne le répéterai pas deux fois. Ce faisant, elle avait abandonné sa posture devant le miroir, pour venir s’installer sur le fauteuil dressé au milieu de la pièce. Verkran l’avait suivi du regard, n’osant croire ce ni qu’il avait entendu, ni ce qu’il voyait. Dans un silence prolongé, et d’une façon digne et théâtrale, elle s’était agenouillée sur le fauteuil, laissant reposer sa tête sur le dossier. D’un geste bref et rapide, elle avait relevé sa robe blanche, jusqu’à ce que la nudité couvre ses jambes et ses fesses. Elle attendit quelques secondes dans cette position, les fesses ainsi dressées en une explicite invitation. Un moment elle crut que celle-ci allait être déclinée. Sûrement pas par manque d’envie, non. Mais la froide et impérieuse – mais nécessaire - mise en scène aurait pu paralyser de peur son serviteur. Elle ne détourna pas son regard du sol, mais bientôt des bruits explicites lui révélèrent que Verkran était sorti de sa torpeur – et bien décidé à saisir l’incroyable occasion qui lui était offerte -. Aucun mot n’avait été prononcé, le bruit ...
... de ses pas se rapprochant. La duchesse regardait fixement le sol, quand elle sentit le contact de mains hésitantes, mais affamées sur ses fesses. — Je serai aussi dévoué et discret que Madame le souhaite et je ferai de mon mieux pour satisfaire Madame. Il avait accompagné sa déclaration par l’introduction timide – mais réelle – d’un doigt en elle. La sensation n’était pas totalement désagréable, ce préambule était même plutôt excitant. Elle sentit alors l’autre main de Verkran s’aventurer sous sa robe, à la recherche de ses seins. Si ce contact n’était pas forcément inintéressant, elle y mit brutalement un terme par des paroles sèches et sans appel. Elle devait rester maître de la situation. — Je vous ai ordonné une chose, Verkran, et vous regretteriez très vite d’en vouloir trop. Tenez-vous-en à cela.— Que Madame me pardonne, répondit-il avec humilité en dégageant sa main de sa poitrine. Je…. je m’emploierai uniquement à l’immense honneur que vous me faites.— Trêve de compliments, Verkran. Allez-y. Pour la première fois de sa vie, Jaessa s’apprêtait à accueillir un sexe entre ses fesses. Après tant d’années de privation, de désirs refoulés par la bonne morale, elle était décidée à donner libre cours à ses envies. Des centaines de rapports et autres joutes sexuelles – que ce soit avec son timide mari ou l’impétueux comte de Dranguard - n’avaient pas réussi à réveiller le plaisir enfoui en elle. C’était la seule manière pour elle de redécouvrir – peut-être – le plaisir. Et la ...