1. Un weekend à la côte


    Datte: 08/12/2018, Catégories: ff, plage, hotel, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme coupfoudr,

    ... volontiers flanqué une gifle au réceptionniste quand il m’a regardée d’un air méprisant après que Tonton eut demandé une chambre avec deux lits. Je fulminais en entrant dans la chambre. Tonton était hilare ! Il se contrefoutait que le gars se fasse des idées. oooOOOooo On a tout de même été un peu surpris en arrivant sur la plage. Tonton encore bien plus que moi. Il a proposé qu’on lève le camp. — Ah, merde ! J’avais complètement oublié qu’ils avaient autorisé ça… Je ne savais pas que c’était ici, on va changer d’endroit, non ? Mes sandales me cisaillaient les doigts de pieds et je n’avais aucune envie de parcourir un demi tour du Monde pour trouver un autre endroit, alors j’ai répondu : — Si tu veux, mais bon, il n’y a pas trop de monde, on peut faire avec, non ?— Ouais…— Quoi ?— Ben c’est une plage naturiste…— Ben oui, j’ai vu qu’ils sont tous nus ! Ça reste une plage. Pour moi, la nudité avait un côté naturel. Souvent chez Tonton, je débarquais seins nus dans le salon, dans la cuisine, n’importe où. Quand je sortais de la douche, le matin avant de m’habiller, ou quand il faisait chaud. Comme chez maman, et chez Rachid par la suite. J’avais toujours été comme ça. La première fois, Tonton avait eu l’air un peu éberlué. Sur le coup, j’avais pas saisi. Quand j’avais vu qu’il me regardait, perplexe en buvant son café, je lui avais souri, interrogative. — Quoi ?— Steph, t’as pas oublié quelque chose ?— Quoi ?— T’habiller, par exemple ? J’avais baissé la tête, comme pour ...
    ... vérifier – je l’ai dit, je ne réfléchissais pas à ces attitudes, c’était naturel – j’avais vu mes seins nus, et rougi comme une collégienne ! J’avais bredouillé : — Oh ! je suis désolée, j’ai pas fait gaffe, je t’assure ! Je vais m’habiller ! Tonton s’était mis à rigoler doucement. C’est ce jour-là que j’ai appris quel était son métier, j’avais jamais songé à lui demander auparavant. — Bah, ne te tracasse pas, ça ne me gêne pas. Tu sais, je suis photographe de charme, alors j’ai l’habitude de voir des filles nues.— Ah bon, je savais pas… mais, tout de même, je suis gênée… je t’assure, c’est naturel, je fais pas attention, j’ai toujours été comme ça.— Alors, ne change pas, tu es ici chez toi, fais comme chez toi… C’était tant mieux ! J’aurais jamais pu lui promettre que ce ne se serait plus produit… J’ai continué à faire comme chez moi… Tonton grattait le sable avec son pied, ça devait un peu se chamailler dans sa tête. J’ai posé la petite glacière en attendant qu’il se décide. Je n’avais qu’une envie, lézarder au soleil, me détendre, en écoutant la mer. À poil ou pas, je m’en foutais. Des seins nus à la tenue d’Ève, il n’y avait somme toute que quelques tout petits centimètres carrés de tissu de différence. J’espérais juste qu’il n’allait pas prendre des plombes pour se décider. Il a regardé partout autour et il a dit : — Bon ben, puisque ça ne te dérange pas, à Dieu vat ! D’habitude c’est devant moi qu’on se déshabille, ça me changera… J’admets. Je reconnais. J’ai jeté un œil à ses ...
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