1. Voisin, Voisine


    Datte: 09/08/2017, Catégories: fh, hplusag, voisins, voiture, amour, volupté, Oral humour,

    ... resté gravé à jamais dans mon esprit. Je la relançai sur la belle-sœur, dans l’espoir de faire monter la tension : — Pensez à Corinne quand elle vous a caressée. Elle cacha son visage derrière son avant-bras en s’affalant plus encore contre le dossier — …vous êtes ignoble…— Vous avez un sexe magnifique, elle a dû aimer vous caresser…— oui… elle a aimé.— Corinne a fait comme ça ? lui demandai-je en la titillant avec le majeur.— …— Elle a fait comme ça ? répétai-je en accélérant le mouvement du doigt.— Ouiiii … Oui… elle a…— Ou comme ça ? Je ralentis la caresse jusqu’à la rendre indolente. Son bras quitta son visage et sa main vint agripper la mienne : — Nooon, non… plus vite… allez plus vite… Ses ongles s’enfoncèrent dans ma chair lorsque j’accélérai la titillation. — Oui…comme ça… c’est booon, gémit-elle. Odieux, j’aggravai la situation : — Vous auriez aimé sa langue ?— Sa langue… ouii !…— Sa langue ou son doigt ?— Ouiii … les deux ! la langue… la langue et le doigt. Je me penchai vers elle. Mes deux mains s’activèrent. Je malaxai ses lèvres, tandis que j’accélérai encore le rythme de mon doigt jusqu’à le rendre frénétique. Elle avait les yeux fermés et sa respiration était sifflante. Sa tête dodelina en tous sens. — Encore… enc… Brusquement, elle s’arc-bouta, coinçant mes doigts entre ses cuisses. Tétanisée par le plaisir, elle laissa échapper une courte plainte du fond de sa gorge. Puis elle s’affala comme une poupée de chiffon. Après quelques secondes, elle posa à nouveau ...
    ... sa main sur la mienne et tourna vers moi un visage lumineux et reconnaissant — C’était… fabuleux ! Voisin, gentil voisin, vous savez y faire ! Elle fondit sur moi d’un seul élan, enroula ses bras autour de mon cou et m’embrassa avec force. Sa bouche était un fruit chaud et juteux dont je savourai la pulpe. Nos langues firent connaissance, s’entremêlèrent et se dévorèrent. Elle appuya sa bouche encore plus fort. Ce baiser aurait pu durer une éternité, je ne m’en serais pas lassé. Ma main gauche prit possession de ses seins. Je caressai une poitrine ferme et veloutée sous le tissu léger de la robe. Elle rompit le contact, redressa la tête et plongea ses yeux dans les miens. — Je n’aurais pas dû, surtout avec un monsieur que je ne connais pas ! Mais qu’est-ce que c’était bon…— Et si on se tutoyait ? Entre voisins on peut, non ? Elle rit : — Oui, on peut. Surtout qu’on a un vécu commun !— Commun ? Non : divin !— Et nos prénoms ?— Impossible voyons ! Ce ne serait pas convenable : on se connaît à peine ! Et puis réfléchis : Voisin, Voisine, çâââ c’est original ! Ça court pas les rues… Amusée, elle m’embrassa sur la joue. — Si tu veux. Ce sera notre secret. On laissera les imbéciles dans l’ignorance.— Voisine, tu m’as mis dans un état impossible. Elle rit encore. Sa main toucha comme par mégarde mon pantalon. — C’est vrai, tu ne mens pas. Je t’ai vraiment fait cet effet-là, à moi toute seule ?— T’as qu’à voir ! Je ne sais pas si je vais être capable de me retenir… Je pris sa main et ...
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