La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1038)
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... savais donc absolument pas l’heure qu’il était. Mais je n’avais, une fois de plus, pas eu de petit déjeuner le matin avant de partir de chez le filleul du Maître, juste une gamelle d’eau. Et je commençais à avoir faim. Cependant, je n’eus pas le temps d’y penser longtemps car l’homme baissa son pantalon, exigea que je me déshabille et me mette en levrette sur le lit, et me prit sans plus de préambule. Comme un porc, il me monta avec des couinements, visiblement affamé de sexe… L'homme derrière moi, plaqua alors son torse en arc-boutant, épousant ainsi mon dos arrondi afin de bien me prendre la chatte le plus profond possible tout en ayant passé ses bras autour de ma taille pour venir triturer mes mamelons pendants. Toujours en couinant comme un cochon, il les fit rouler entre ses doigts, les tira en avant, je gémis de plaisir et un peu de douleur. Je sentais son souffle et sa mauvaise haleine m’envahir les narines ainsi que les sensations brûlantes qui se diffusaient dans mon corps. Me maintenant ainsi, il donna alors de grands coups de reins pour planter sa queue le plus loin possible dans mon vagin et commença alors une cadence rapide comme s’il voulait au plus vite décharger sa semence en moi tel un animal copulant en rut. Au bout d’un moment, il lâcha prise et se retira sans dire un mot mais toujours en émettant des grognements gutturaux car visiblement il n’avait pas joui. Alors il me regardait quelques secondes, j’étais positionnée toujours en levrette, le cul face à ...
... son regard vicieux. J’étais bien penchée en avant et donc mes fesses bien relevées et écartées quand d'un coup sec, l'homme prit possession de mon cul, avec acharnement sans se soucier de s’enfiler profondément à me faire mal. Je fus prise de soubresauts, cela fut un véritable mélange de douleurs et de plaisir physique de se faire ainsi enculer… Il me besogna longuement, ayant visiblement du mal à approcher de la jouissance encore une fois, malgré et toujours avec ses grands coups de boutoirs au plus loin de mes entrailles qu’il pouvait s’enfoncer. Ses grosses couilles cognant contre mes fesses. Alors il se retira de nouveau après donc avoir goûté mes deux orifices et il me fit mettre à genoux et exigea que je me débrouille pour le faire juter dans ma bouche. Je mis alors tout le savoir-faire que mon éducation aux pieds du Maître Vénéré m’avait conféré. Mais il me fallut de très longues minutes, le nez contre un pubis poilu et malodorant, pour réussir à recueillir finalement une assez maigre « récompense ». Il se rhabilla alors et avant de quitter la chambre, déposa dans une urne près de la porte 50 euros en précisant qu’il était content d’avoir découvert les fkk (Frei-Körper-Kultur, ou culture du corps libre) de Düsseldorf. Je compris donc que je me trouvais en Allemagne, où ce terme qui normalement désigne le naturisme, était ici utilisé pour parler des maisons closes. Je sus bien plus tard que dans ce type d’établissement, on proposait pour 50 euros la journée les repas, un ...