La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1038)
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... accès libre au bar et à la piscine, ainsi qu’un catalogue de femmes se trouvant là pour agrémenter la visite des clients, soit en tant qu’accompagnatrice, et plus si affinités, soit purement pour être baisée et ne quittant pas les chambres. Pour tout rapport sexuel, les clients étaient facturés 50 euros supplémentaires. Je sus également plus tard que j’étais restée douze heures dans cet établissement. Durant douze heures, je fus pénétrée, besognée, salie, humiliée par tous mes orifices. Comme si un message avait été passé prévenant que je n’étais qu’un morceau de viande, juste bonne à vider les couilles de qui le voudrait, de toutes les manières possibles et inimaginables ! Je n’avais de répits que les quelques minutes que prenait un client pour se rhabiller, ou seulement se réajuster car certains ne faisaient que sortir leur bite de leur pantalon, se vider et repartir, jusqu’au moment où un autre prenait sa place. Et je n’eus pour toute nourriture que du sperme ou même de l’urine à avaler. Certains en profitaient pour assouvir leurs fantasmes. Ainsi je me retrouvais masseuse, chienne (ça ce n’était pas une nouveauté pour moi !), serveuse, attachée aux montant du lit la tête en bas, attachée en étoile, devant prendre des positions du Kâma-Sûtra que je ne connaissais pas mais qui, à mon sens, auraient pu paraître en gymnastique olympique… Mais ce qui me marqua le plus, et que j’espérais ne plus jamais avoir à revivre fut ce moment-là. L’arrivée d’un homme, à peu près 35 ans, ...
... très classe, costume, cravate. Il me regarda longuement. J’étais assise sur le lit, face à la porte. Il avait un air étrange, l’air de quelqu’un qui n’est pas sûr de savoir ce qu’il voulait vraiment. J’étais déjà nue. Dans ce genre d’endroit, quand on ne se trouve pas à racoler les gens dans les parties communes, être vêtue est un inconvénient et une perte de temps. Il finit par bouger. Il enleva chacun de ses vêtements, lentement comme s’il voulait repousser le moment qui allait finir par arriver, les pliants chaque fois soigneusement. Puis il ouvrit la mallette qu’il avait apporté avec lui et en sortit un martinet. Il le regarda, me regarda, puis exigea que je me mette à quatre pattes par terre, et il commença à jouer des lanières sur mon dos, mon fessier, mon sexe, mes jambes, partout où elles pouvaient se poser. Mais assez vite, il s’arrêta et resta un moment immobile à m’observer. Puis il me releva sans un mot, et il baissa la tête, avant de rester de nouveau immobile. Je ne comprenais pas ce qu’il attendait. Quand d’un mouvement brusque, il se laissa tomber à genoux, et me tendit le martinet de ses deux mains ouvertes, paumes vers le plafond. Comme je ne bougeais toujours pas, il me supplia d’utiliser le martinet sur lui. Je commençais alors timidement à laisser les lanières claquées sur lui, mais il m’implorait toujours d’y aller plus fort, de me lâcher. J’essayer au mieux de le satisfaire, mais Dominer n’était vraiment pas ma nature, et j’étais très mal à l’aise. Quand ...