1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1038)


    Datte: 16/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... je m’arrêtais finalement, malgré ses supplications, mais commençant à avoir mal au bras et au poignet, n’ayant pas l’habitude de cet exercice, il se prosterna devant moi et vint me baiser les pieds, des larmes coulant abondamment sur ses joues. Je ne le laissais dans cette position que le temps de revenir de mon étonnement, et je le relevais très vite. Il finit par me parler. Il avait dans sa vie professionnelle et privée de nombreuses responsabilités, qui finissaient par l’étouffer. Il se détendait donc en lisant des récits, d’abord tous les styles, m’apprenant qu’il avait lu les « Dix petits nègres » d’Agatha Christie, ou énormément de Molière. Mais que depuis peu, c’était un tout autre genre de littérature qu’il avait commencé à découvrir. Disant cela, il me tendit un livre qu’un ami lui avait prêté. En regardant la couverture, je souris franchement. Il s’agissait de … « La Saga des esclaves… » de Monsieur le Marquis d’Evans. Il m’avoua qu’il s’était retrouvé tellement excité en le lisant qu’il avait commencé à se poser des questions, et qu’il avait voulu tester, brièvement avec moi, les deux côtés du manche du martinet, et que ce qu’il craignait c’était réalisé. Il ...
    ... ne pouvait pas en effet cacher son sexe qui s’était tendu à l’extrême lorsque c’était moi qui le maniait, alors qu’il n’avait pas réagi en me frappant. Sachant que le Maître étudiait toute proposition qu’il recevait avec beaucoup d’attention et de respect pour la personne, j’avouais alors à celui qui m’apprit s’appeler Jean, que j’appartenais à l’auteur du livre qu’il tenait dans sa main, que j’étais Sa soumise, et je lui conseillais de le contacter via le site dont l’adresse se trouvait dans la biographie. Je pensais avec raison, que d’ici peu de temps le Maître Vénéré recevrait une nouvelle candidature pour intégrer Son Cheptel. Ce fut le seul moment où mon corps ne fut pas massivement, abusivement sollicité. Et toujours sans la moindre alimentation solide, à la fin de la douzième heure, alors que je me tenais penchée en avant, mes mains tenant mes chevilles, me faisant pénétrer brutalement, je finis par perdre connaissance d’épuisement ! Lorsque je rouvris péniblement les yeux, je supposais que je rêvais, que je délirais, car il me sembla reconnaître la chambre du Maître, mais épuisée, je refermais rapidement les yeux et plongeais dans un profond sommeil… (A suivre …) 
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