Maman ?
Datte: 21/06/2017,
Catégories:
fh,
ff,
couple,
médical,
amour,
Oral
fantastiqu,
fantastiq,
... présent, poussées par le désir et l’amour, elles se moquaient bien de savoir si quelqu’un, un aide-soignant ou une infirmière, allait entrer dans la chambre brusquement, elles s’en moquaient totalement. La bouche de Samia trouva les mamelons durcis de Charlotte, les caressa, les téta avec une lenteur délibérée. La jeune flic poussa un soupir et ferma les yeux, tandis que les mains douces de sa compagne lui caressaient la poitrine sans répit, tandis que sa langue cajolait les pointes tendues. — Je veux que tu quittes ce boulot, murmura Samia, en glissant sa langue le long du ventre. S’il te plaît. Charlotte tenta de dire quelque chose, mais ne poussa qu’un soupir lorsque les mains de sa compagne se glissèrent entre ses cuisses. — Oui… finit-elle par soupirer. Samia se pencha davantage et déposa un baiser sur la fine toison, embrassa le nombril, puis pointa sa langue vers le passage humide qui s’ouvrit à elle. Le corps de la flic s’anima d’une telle fièvre qu’elle dut l’attraper par les hanches pour ne pas le laisser s’échapper. — Oui ! Charlotte se cambra pour venir à la rencontre de cette langue si douce, qui lui faisait tant de bien. — Oui, oui ! Elle se rejeta en arrière lorsque la langue de Samia s’enfonça en elle, loin, très loin, puis glissa sur les lèvres humides, avant d’effleurer son anus. À son tour saisie d’une faim dévorante, Samia grimpa sur le lit, se cognant au passage le genou contre les barrières du lit médical, et enjamba Charlotte pour se retrouver en 69. ...
... Celle-ci déboucla la ceinture de l’Algérienne, et fit glisser tant bien que mal le jean et le string, pour avoir finalement les fesses de sa compagne à portée de langue. Samia suça son majeur, et l’enfonça dans le vagin trempé de la flic, qui poussa un profond gémissement. — Oui, fais-moi jouir ! la supplia-t-elle. Ce fut à cet instant précis, alors que les deux lesbiennes étaient tête-bêche, déconnectées du monde, qu’un homme fit soudain irruption dans la chambre, armé du Beretta. Il eut un instant de stupeur en voyant le spectacle lesbien qui lui était offert, puis leva son arme, et fit feu par deux fois. Les détonations furent étouffées par le silencieux dont était équipé le pistolet. * * * * * Yan Harris se réveilla ce matin-là à dix heures moins le quart. Il resta un moment inerte, les yeux fixés au plafond, sortant doucement de la torpeur du sommeil, bien décidé à profiter de son jour de repos. Il se tourna sur le côté, et contempla sa femme encore endormie. Marié depuis cinq ans, heureux en couple, ayant brillamment réussi sa vie professionnelle, à présent sous-directeur de sa compagnie d’assurances, c’était un homme heureux, épanoui, menant une vie presque parfaite. Il souleva les draps et posa ses mains sur les seins de Cassandra. Il se pencha et l’embrassa sur la joue, puis dans le cou. Elle murmura quelque chose d’indistinct en entrouvrit les yeux. — Bonjour, lui chuchota-t-il à l’oreille. Avec des gestes lents, elle passa sa main dans les cheveux de son époux et ...