La Hase et le Rapace - 3
Datte: 18/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... coups de fouet qui l’aiguillonne et lui donne envie de le faire jouir là, maintenant, dans sa bouche. Mais lui n’a qu’une envie, c’est la contrarier. L’air de rien, c’est bien une punition qu’il lui inflige : elle aura du plaisir sans pouvoir en donner… Quel meilleur moyen pour gâcher une fête… L’homme plonge entre les cuisses de la jeune-femme. Elle ne proteste pas. De la langue il savoure les chairs fragiles et tendres des grandes et des petites lèvres. Elles sont gorgées de désir, il s’en régale. A petits coups précis, il lape le nectar. Il n’a pas encore goûté la jeune-femme. Pas de cette façon en tout cas. Il attendait une occasion, celle-ci lui semble opportune. Il la lèche avec application et beaucoup de plaisir, tentant de la surprendre par des caresses reptiliennes. Le parfum de la femme a un goût de framboise et cela le rend langoureux. Sa langue effleure, caresse, survole sans jamais s’attarder. Il se sert de ses lèvres mais jamais de ses dents, donnant à ses bisous une douceur horripilante. Puis quand vient le temps du baiser, il s’y livre avec toute la fougue dont il est capable et embrasse le sexe comme on embrasse une bouche. Sa langue pénètre fouille et danse au rythme que le plaisir donne au bassin d’Evelyne. Des mains, il bloque comme il peut les cuisses de la femme qui se referment en spasmes sur sa tête. C’est alors, seulement, qu’il s’attaque au bourgeon. Le corps d’Evelyne tente d’échapper à cette nouvelle caresse, elle n’en peut plus. Mais lui, la force ...
... à supporter. Il emprisonne la taille d’Evelyne entre ses bras, attire les fesses de la femme contre son cou et son sexe contre sa bouche. Il la dévore. Des dents, il pince et mord le clitoris, des lèvres, il l’aspire vers sa langue qui le titille et l’escagasse. Dans le corps de la femme, les orgasmes s’enchaînent à une cadence telle qu’elle ne sait plus où elle est. Elle sait juste qu’il faut que ça cesse, que le plaisir devient torture et la jouissance devient douleur. En vain, elle essaye d’arrêter l’homme, car dans la position qu’il lui impose, elle ne dispose que de peu de moyens. Et puis, il est parti dans un monde où rien ne l’atteint. Sauf, peut-être, les coups de talons qu’elle assène à son dos. Il a fallu beaucoup d’efforts à Evelyne pour qu’elle parvienne à ses fins. Mais l’homme s’est enfin arrêté. Il est hébété, à peine conscient de l’endroit où il est, de ce qu’il a fait. La jeune-femme se libère de son emprise. Doucement, elle le prend dans ses bras et lui parle : - Tu allais me rendre folle, tu sais. Je n’en pouvais plus… trop de plaisir, trop de jouissance… C’était devenu une torture. C’était bon et terrible à la fois mais… Il fallait que ça s’arrête. L’homme la regarde et lui sourit. Il n’est ni fier ni gêné, juste lui-même. - Ouais, ça m’arrive de temps en temps… Je deviens fou. D’habitude, c’est quand j’ai trop bu. Là ? Je sais pas ce qui m’a pris… Il vaut mieux que je parte, je crois. Désolé de t’avoir foutu la trouille… Elle regarde l’homme se rhabiller ...