1. Quel temps de chien (je l'ai publiée il y a 1


    Datte: 19/12/2018, Catégories: Anal Masturbation

    ... faut jamais s’angoisser !Sylviane le regarda en silence pendant quelques instants. Son regard était chaleureux, teinté d’une touche d’empathie. Bertrand se sentit mal à l’aise mais en même temps, très émotionné. Il ne put s’empêcher de l’admirer ; du regard, il saisit les belles courbes de son corps, le galbe de ses seins très généreux, qui tendaient le tissu de sa blouse blanche. Depuis toujours, il l’avait trouvée très séduisante tout en faisant fi de tout élan amoureux ; là, ses pensées semblaient désormais dépasser le stade de la platonique amitié.Lorsqu’elle se pencha au-dessus de lui et introduisit ses doigts entre ses lèvres pour insérer le tuyau de succion pour commencer le détartrage, le contact de leur corps lui fit l’effet d’un choc. Abasourdi par ses propres émotions, tourneboulé par le changement de perspective, il ne put que se laisser faire tout en espérant ne pas ressentir de douleur qui aurait pu briser le charme.Il se concentrait sur les mouvements de Sylviane, tant dans sa bouche que le long de son corps. Très vite, il s’aperçu que Sylviane agissait autrement qu’à l’habitude. Elle semblait donner à ses gestes un tempo plus lent, plus insistant, ne manquant aucune occasion de se rapprocher de lui, ni de l’effleurer. Le nettoyage de ses dents se passait comme dans un rêve, sans aucune douleur et ponctué de gestes si prévenants que Bertrand finit par se demander si Sylviane avait bien conscience que c’était lui, Bertrand, qu’elle soignait à présent. Elle, ...
    ... d’habitude si diserte, ne parlait presque pas. Alors qu’elle poursuivait le travail, Bertrand fit glisser son bras droit entre leur deux corps. Il sentit la pression nette des hanches de Sylviane sur son bras. Elle cherchait le contact avec son pubis, il en était sûr. L’érotisme de l’instant le subjugua. Tant d’innocence, de charme…Détachant son regard fixé sur la fenêtre qui lui faisait face, Bertrand tourna les yeux vers la droite. Là, à quelques centimètres de lui, majestueux, les seins de Sylviane lui apparurent, engoncés dans la blouse de travail, accompagnant nonchalamment chacun des mouvements de Sylviane.Bertrand avait remarqué depuis longtemps l’opulence de Sylviane mais, là, dans l’instant, ils lui semblaient plus gros que jamais. N’osant plus croiser le regard de son amie, Bertrand voulut baisser les yeux. C’est alors qu’il remarqua que les tétons s’étaient érigés et pointaient vers lui, arrogants et lascifs.L’instant devint éternité quand Sylviane glissa légèrement et appuya sa grosse poitrine sur celle de Bertrand. Leurs corps s’épousèrent pendant quelques secondes, bien assez pour que Bertrand dut instantanément croiser les mains pour tenter de cacher une magnifique érection. — Oups, excuse-moi, j’ai glissé…Bertrand ne pouvait répondre mais son visage cramoisi dut faire pitié à Sylviane, qui ajouta en riant: — J’espère que je ne t’ai pas fait mal, hein !Sylviane reprit son intervention Elle se replaça et ne semblait pas gênée par son bras, que du contraire. La ...
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