1. Quel temps de chien (je l'ai publiée il y a 1


    Datte: 19/12/2018, Catégories: Anal Masturbation

    ... pas plus. Il pointa son gland et enfonça son vit qui entra comme dans du beurre. Margoth eut un petit hoquet puis se détendit en sentant la verge dilater ses entrailles. — Oh putain, elle est bonne ! Ohh quel cul…bien serré…Ahh…prend ça ma biche, tu la sens bien ? — Oh ouiii, Mo…Monsssieur…dou..doucement…c’est bbboon !Pierre bandait comme un cheval et Bertrand eut un instant l’impression qu’il voulait le prendre mais, à son grand soulagement, il se contentait de se branler sur ses fesses. Sylviane s’était assise près de Margoth dans le sofa et lui suçait avidement les seins tout en se branlant, deux doigts largement enfoncés dans sa chatte bien juteuse.Pierre glissa la main par-devant Bertrand et vint lui caresser la bite tout en poussant les hanches de son ami pour l’aider dans son mouvement d’enculage. Bertrand était au bord de la jouissance ; sans plus attendre, il accéléra le mouvement, secouant la pauvre Margoth, complètement défoncée mais ravie d’avoir une telle pièce dans le cul. La sève monta à la vitesse de l’éclair et ...
    ... Bertrand eut juste le temps de s’enfoncer à fond dans le cul de la gouvernante puis lâcha la purée en quatre jets puissants qui finirent de faire jouir Margoth.Pierre relâcha l’étreinte sur Bertrand et rejoignit son épouse qui n’attendait plus qu’une bonne queue pour se faire jouir comme elle le souhaitait. Pierre la prit en levrette, à la soudard, comme elle aimait. À peine eut-il enfoncé sa trique dans la monniche de Sylviane que celle-ci y alla d’un baiser profond et mouillé que Margoth avala avec gourmandise. Soufflant comme un taureau en rut, Pierre pilonnait sa femme, qui criait son bonheur, tantôt étouffé dans la bouche de Margoth, tantôt hurlé en sons aigus et chuintants.Quand Pierre, Sylviane et Margoth furent repus, tous s’allongèrent au gré de l’espace sur l’épaisse moquette de laine. Bertrand alla dans la cuisine chercher quelques rafraîchissements qu’il posa sur la table basse. Ils étaient tous avachis, le sourire béat, épuisés par l’intensité de l’orgie.Bertrand regarda l’horloge. Il était temps de faire une petite sieste… 
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