1. Quel temps de chien (je l'ai publiée il y a 1


    Datte: 19/12/2018, Catégories: Anal Masturbation

    ... pression des hanches était toujours aussi insistante à tel point que Bertrand avait l’impression qu’elle se frottait litéralement à lui.Alors qu’elle finit son travail, le regard de Sylviane passa incidemment sur les mains de Bertrand. Il sembla alors au jeune homme que sa dentiste remarqua qu’une grosse bosse s’était formée mais elle n’en dit rien.Quelques minutes plus tard, Sylviane avait terminé. — Voilà, Bertrand, te voilà doté d’un sourire de star ! — Sûrement grâce à tes doigts de fée !Sylviane et Bertrand se regardèrent intensément et dans le flottement de l’instant, ils semblaient jouir de l’ambiguïté. Sylviane avait remarqué la belle protubérance et jaugeait l’épaisseur et la longueur de l’engin. Un bouffée de chaleur l’envahit alors qu’elle essayait tant bien que mal de se contenir. Dans un sursaut de conscience, elle s’écarta du fauteuil et rangea ses outils de travail.Bertrand, la gorge nouée, la regardait. Sylviane lui faisait dos à présent. L’atmosphère était lourde. Soudain, sans qu’il eut le temps de se reprendre, il lâcha : — J’aime regarder tes fesses…Rouge de confusion, paniqué même par sa propre remarque, Bertrand se mordit les lèvres. À peine eut-il voulu corriger le tir que déjà Sylviane s’était retournée. Elle s’adossa au rebord du plan de travail et y posa les coudes. Elle semblait très calme. Le genou légèrement plié, elle semblait poser pour un photographe. Son sourire naissant calma quelque peu Bertrand. Sylviane le fixa du regard et lui dit : — Il ...
    ... faut attendre dix minutes avant que l’anesthésiant ne fasse plus d’effet. En attendant, je continue à ranger mon matériel, d’accord ? — Euh…ou…oui, o..okSylviane ôta sa blouse de travail lentement. Bertrand ne put s’empêcher d’arrondir les lèvres de surprise. Il ne put dire un mot. Sylviane lui sourit et se retourna pour vaquer au plan de travail.A présent, Bertrand avait tout le loisir de détailler les formes de Sylviane. Elle portait un jeans qui mettait ses fesses épanouies en valeur. Les rondeurs de son cul étaient délicatement séparées, laissant apparaître un espace en triangle tout en haut des cuisses, là où la vulve se fait abricot fendu. Bertrand scrutait chaque frémissement qui secouait les belles fesses de son amie. Plus haut, le chandail rouge trahissait la partie postérieure du soutien-gorge qui, manifestement, avait bien du mal à soutenir des seins lourds et larges. — Alors, mes fesses, tu les vois mieux comme ça ?Sylviane ne s’était pas retournée en disant cela. Elle continuait à nettoyer ses outils calmement. — Et quand je me cambre, c’est plus excitant ?Bertrand n’en croyait pas ses oreilles. Sylviane, qu’il connaissant depuis si longtemps, toujours souriante mais plutôt réservée, qui lui parlait si franchement, qui le laissait ouvertement mater… — J’ai mis un string. Ça permet aussi de deviner la chatte. Regarde bien…A cet instant, Sylviane se retourna et regarda en direction du pubis de Bertrand. — Moi, en tout cas, je vois que ta bite est raide…et grosse ! ...
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