1. Quel temps de chien (je l'ai publiée il y a 1


    Datte: 19/12/2018, Catégories: Anal Masturbation

    ... Aahhh… oui, je mou-ou-ille…C’est bon quand tu te branles devant moi ! — Ça te plaît, une bonne queue, hein ? Une bonne grosse bite bien dure, pour te défoncer la rondelleSylviane s’était à nouveau retournée. Penchée en avant, elle prit ses fesses à pleines mains et les écarta : — Mate-moi ce petit trou… Dis-moi que tu aimerais m’enculer ! — Sylviane, tu es une vraie grosse pute… Une grosse pouffiasse qui aime la bite, et surtout dans le cul… Si tu continues, je te fourre mon saucisson dans la rondelle jusqu’à ce que tu m’implore d’arrêter… — Bertraaaaand….Oooh…ouiiii… — Je vais cracher, salope, je vais t’en foutre plein le cabinet ! — Je vais jouir, Bertraaaaaaaaaaaandd… Lâche-tout…ouiiii… mets du foutre partout !Dans un spasme synchronisé, Sylviane et Bertrand atteignent l’orgasme, l’un dans un cri rauque, l’autre dans une série de jappements sonores… Bertrand parvient à orienter sa queue vers Sylviane qui reçoit les jets de sperme sur la cuisse, la main et le bas du jeans.Elle s’effondre, accroupie, haletante, tandis que Bertrand se cambre une dernière fois dans le fauteuil. Les amants se jaugent, le regard vague, incapables de réfléchir, anéantis par la jouissance.Les instants passent dont le silence est à peine interrompu par leurs soupirs. Bertrand se redresse lentement, se lève et s’approche de Sylviane. Reprenant leurs esprits, les amis d’hier, amants aujourd’hui, s’enlacent doucement. — Sylviane… Je n’ai jamais joui comme ça ! — Le plaisir fut partagé, mon grand. ...
    ... Laisses-moi me refaire une beauté et allons prendre un verre avec Pierre ; il doit nous attendre après tout…Alors que Sylviane s’efface par la porte dérobée, Bertrand marche lentement dans le cabinet dentaire, soudain gagné par la culpabilité. S’il avait ressenti un attachement certain vis-à-vis de Sylviane, jamais il n’aurait cru que la libido allait prendre le dessus. Maintenant qu’elle n’était plus auprès de lui et que ses sens s’étaient calmés, l’anxiété s’empara de lui. Leur relation, et surtout la relation avec Pierre, allait-elle être détruite ? Bertrand allait-il devoir s’expliquer voire subir les foudres de ses amis ? Tout cela a un moment où il avait tellement besoin d’eux.Au bout d’un quart d’heure, perdu dans ses pensées, il ne vit pas Sylviane qui entra dans la pièce, enveloppée dans un peignoir de bain. Le bas de ses jambes bronzées contrastaient avec la blancheur de l’épais coton échancré et tendu par sa poitrine tellement opulente. Elle s’accouda au chambranle de la porte, la tête penchée sur le côté,souriante et cernée, les cheveux humides encadrant son charmant visage épanoui. — Viens, Bertrand, Pierre nous attend… — Mais… — Ne t’inquiète pas, nous venons de parler de toi…Ses paroles se ponctuèrent d’une moue énigmatique, à mi-chemin entre la tendresse et le désir.Bertrand pris sa veste et son dossier et suivit Sylviane dans la maison. Quand ils entrèrent dans le vaste salon doublée d’une véranda en fer forgé aux dimensions généreuses, Pierre était assis dans un ...
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