1. Quel temps de chien (je l'ai publiée il y a 1


    Datte: 19/12/2018, Catégories: Anal Masturbation

    ... fauteuil club en cuir. Bertrand remarqua que lui aussi portait un peignoir de bain. Il leur sourit et les accueillit chaleureusement. — Ahh Bertrand, te voilà ! Comment vas-tu mon garçon ? Installes-toi…Un peu hésitant, Bertrand lui sourit et le remercia sans vraiment savoir comment poursuivre la conversation. Il s’assit dans le club situé en face de Pierre. Entre-temps, Sylviane s’était installée dans le grand sofa. Elle croisa les jambes et le peignoir se fendit jusqu’à mi-cuisse. Bertrand le remarqua tout de suite. Il n’en croyait pas ses yeux… Mais que ce passait-il donc ?Margoth, la gouvernante, apporta le thé et les biscuits puis repartit en silence en dodelinant les hanches. Bertrand la suivit des yeux ; quand il tourna la tête vers le couple pour reprendre la conversation, il vit que Sylviane et Pierre se souriaient. — Dis-moi, Bertrand, comment avance ta recherche d’emploi ? le demanda Pierre. — Bof, pas terrible pour l’instant, je vois beaucoup de monde mais rien de vraiment concret, malheureusement… — Tu m’a l’air tellement déprimé… Si tu affiche cette mine-là lors des entretiens, tu risque d’être déçu ! Allez, Bertrand, relax, détends-toi, sois positif ! — Tu as raison, Pierre, mais ce n’est pas facile. Mais c’est vrai, il faut que j’adopte une autre attitude. — C’est ça, une autre attitude, plus franche, plus décidée et, surtout, plus confiante !Sylviane s’était levée et s’approcha de Bertrand. Elle s’agenouilla sur l’accoudoir, juste à côté de lui et lui ...
    ... passa tendrement la main dans les cheveux. — Tu sais, Pierre, je pense que ce garçon devrait passer quelques jours chez nous, histoire de faire une cure de jouvence !Ils éclatèrent de rire. L’ambiance était bonne et Bertrand se sentait entouré et soutenu, exactement ce dont il avait besoin. Pierre s’était levé à son tour et s’était assis sur l’autre accoudoir. Il passa son bras autour des épaules du jeune homme et lui donna quelques paroles d’encouragement.Il sentit leur présence, si proche, et l’émotion le gagna. Il se détendit et se laissa aller. Pierre et Sylviane se regardaient intensément mais il ne pouvait s’en rendre compte. Machinalement, Bertrand tourna la tête de chaque côté et la gorge se noua lorsqu’il s’aperçu que les pans ouverts des peignoirs de Pierre et Sylviane ne masquaient plus rien de leurs bas-ventre. La toison fournie de Sylviane nichée entre ses cuisses cuivrées et charnues, les jambes musclées et glabres de Pierre, entre lesquelles trônait une queue épaisse et longue, mollement abandonnée sur la cuisse gauche, ne cachant rien de lourdes bourses.Le palais desséché, Bertrand tendit la main pour boire du thé mais ne parvint pas fournir l’effort nécessaire. Il se sentait tétanisé. Et de plus en plus émoustillé, aussi. Le silence pesant, leur proximité, la vue de ces corps, le souvenir vivace de la séance avec Sylviane, tout portait aux sens.Sylviane lui caressait doucement la tête. Le couple se rapprocha encore et Bertrand sentait maintenant leur chaleur, à ...
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