1. Quel temps de chien (je l'ai publiée il y a 1


    Datte: 19/12/2018, Catégories: Anal Masturbation

    ... chaque instant plus intense. Soudain, la caresse de Sylviane se fit pression. Légère et très douce mais décidée. Sans qu’il pût ni voulût résister, son visage se fit tourner imperceptiblement vers la droite, en directement de Pierre. Bertrand ne pouvait plus douter du geste de Sylviane. Elle l’entraînait vers la queue de Pierre, déjà bien gonflée, que ce dernier titillait des doigts. Dans la tête de Bertrand, des flots de pensées s’entrechoquèrent, lui ôtant toute faculté de réflexion. Il était là, assis entre Sylviane et Pierre, à quelque centimètres de la queue, raide et dure, prêt à commettre l’irréparable. — Suce-le, mon chéri, goûte-moi cette belle grosse bite…La voix de Sylviane l’envoûta complètement. Pierre joignit la main à celle de son épouse et guida la bouche de Bertrand, qui goba maladroitement la grosse pièce. — Oui, c’est ça Bertrand, suce-moi, lentement, tête-moi la biteSylviane embrassa Bertrand dans le cou. Sa langue jouant avec les plis, glissa avec un érotisme torride jusqu’à son oreille, qu’elle fouilla à petits bruits humides. Il entendit son souffle résonner dans sa tête. — Tu m’excites, Bertrand… Pompe-lui la queue, mon chéri…suce-le bien… Ouiiii…Mmmmmmm….Ooohh… Je vois sa trique dans ta bouche…Ouiii…. — Il suce bien, Pierre, ça te convient, mon grand loup ? — Et comment ! Il a une bouche de pro !Les chuchotements salaces de Sylviane et Pierre achevèrent Bertrand. Il agrippa la longue bite de Pierre des deux mains et le branla tout en le suçant, ...
    ... fouillant l’intérieur des cuisses et caressant les couilles pesantes de cet homme mûr.Bertrand était au comble de l’excitation. Pendant un instant, il arrêta de pomper la queue pour se déboutonner et extraire sa pine toute raide et ses couilles, douloureusement coincés dans son slip. Sylviane se mit à genoux entre ses cuisses et se mit à le sucer goulûment. Bertrand repris la queue de Pierre en bouche. Il sentit sur le bout de la langue un goût âcre et salé qui préfigurait la jouissance toute proche. Pierre lui maintenait la tête fermement et accompagnait l’ardeur de Bertrand par de lents mouvements du bassin. Sylviane le branlait tout en suçotant la bite en lui malaxant les couilles qu’elles prenait à pleines mains. — Je…Je vais lâcher, cria PierreSylviane se redressa et prit le relais de Bertrand. À peine quelques secondes plus tard, Bertrand vit Pierre se cambrer et jouir dans une succession de cris rauques. Il vit Sylviane avaler le foutre de son mari, les yeux ronds, le regard vide, concentrée sur sa tâche. Pas une goutte ne fut perdue. Elle mit quelques instants à avaler le liquide chaud et gluant puis, rassasiée, elle s’assit en tailleur sur le sol en souriant.Pierre tapota sur l’épaule du jeune homme. Ils se sourirent puis se tournèrent vers Sylviane, radieuse. — Ah mes chéris, quel bonheur ! lança-t-elle — Dis-moi, ma louloute, répliqua Pierre, tu ne crois pas que notre protégé à droit à son éjac’ ? Ou alors la séance dans le cabinet lui a-t-elle vidé les couilles, hmm ...