1. Épouse presque fidèle 2 (2)


    Datte: 25/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Le grand jour est arrivé. Le temps est frisquet et humide ; je tremble de froid et de nervosité. La nuit m’a semblée très longue, agitée de fantasmes fous et pervers. Tout en cheminant, je frotte mes cuisses l’une contre l’autre. Cela fait se dandiner mes fesses de façon très coquine, mais me permet aussi de taquiner mon clito entre mes lèvres. Mon string est déjà tout trempé. Je repère la voiture de Lioubov sur le parking ; mon cœur s’emballe, ma minette se liquéfie. Mes fesses se trémoussent sous son regard lubrique. C’est alors qu’une idée très coquine me passe par la tête… Je m’approche de sa C5, ouvre mon manteau et, penchée en avant, j’abaisse mon décolleté pour exposer mes seins devant la vitre fermée du véhicule ; le regard qu’il me lance m’enflamme. Désirant l’allumer encore plus, je lui tourne le dos, me cambre, relève lentement ma jupe et frotte sensuellement mes fesses contre la vitre glacée. Je tourne mon visage vers lui pour lui faire un clin d’œil, rabaisse ma jupe, contourne le capot en ondulant du cul, puis j’ouvre la portière et m’assieds silencieusement à côté de Lioubov. Comme il me l’a ordonné, je me penche pour être au niveau de sa ceinture et je descends lentement sa braguette. — Stop ! Que fais-tu ? Je relève la tête, les yeux écarquillés d’étonnement. — Je dis bonjour à ton meilleur ami, je réponds avec un sourire coquin. — Eh bien non. Première leçon, ma belle soumise : la frustration. Tu avais envie de me sucer la queue ? Allez, réponds ! — Oui, ...
    ... j’en ai très envie… — Ce sera pour plus tard ; une récompense si tu te comportes en bonne petite soumise. Tu sauras que le désir s’accroît lorsqu’il ne peut être satisfait immédiatement. Allez, sors de la voiture et va chercher le gros sac qui se trouve dans le coffre ! Lorsque je sors de la voiture, je fais exprès de relever ma jupe sur mes fesses. L’ouverture du coffre me fait découvrir un gros sac de sport noir. Un frisson me parcourt tandis qu’une pensée me traverse l’esprit : « J’espère qu’il ne prévoit pas de m’enfermer dedans pour me kidnapper… » En effet, je suis assez petite pour pouvoir y entrer. Je le prends par les anses ; son poids imposant me surprend. — Alors, ça vient ? Il te faut combien de temps ? — La frustration fait monter le désir, tu viens de me le dire, et la patience encore plus ! je lui réponds sur le ton de la rébellion. — Impertinente ! Tu vas comprendre de quel bois je me chauffe ! Gare à tes fesses... Je referme le coffre et retourne m’asseoir à l’avant, le sac sur les cuisses. Un long soupir de désir s’échappe de mes lèvres. — Ouvre-le, et passe-moi la cravache. Je la lui tends. — Allez, dehors. Tu vas me montrer l’endroit que tu as choisi. Bien entendu, c’est toi qui portes le sac. Il est lourd, hein ? Si tu savais ce qu’il renferme... J’en ai eu un petit aperçu en l’ouvrant ; cependant, je préfère ne pas y penser. Je lui fais confiance : même si tous ces instruments me terrifient, Lioubov m’a promis de s’en servir avec douceur. Je passe la sangle ...
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