Épouse presque fidèle 2 (2)
Datte: 25/12/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... yeux ; pas touche ! — Est-ce que je peux au moins me masturber ? Je suis trop excité de voir ses lèvres pendouiller ainsi entre ses cuisses. Putain, quelle chatte magnifique ! — C’est vrai que ma soumise a des lèvres exagérément développées ; pour moi, c’est un avantage prédominant. Alors, si vous voulez rendre hommage à son cul et à sa chatte, oui, je vous autorise à vous soulager. À présent, Lioubov s’adresse à moi : — Puisque tu ne peux rien voir, je vais te décrire la scène. Ce jeune homme vient d’abaisser son short, et… Mon Dieu ! Quel engin ! Il a une bite énorme ! Il se branle à quelques centimètres de ton cul ; si tu te reculais à peine, tu pourrais toucher ce mandrin exceptionnel… Je tortille du cul pour entrer en contact avec ce membre que Lioubov me décrit avec complaisance, mais mes efforts restent vains. Ma frustration augmente encore d’un cran… Derrière moi, j’entends les ahanements du joggeur et ses gémissements : — Mmmm… Ah, quel cul, cette salope ! Aaah, je vais décharger… Oui… Oui ! J’entends distinctement les impacts de ses giclées sur le sol. Quelle quantité ! Dommage qu’il ne m’ait pas mis tout ça dans la gorge, moi qui suis si friande de sperme… Derrière moi, au bout d’un moment les halètements s’apaisent. L’inconnu repart après avoir remercié chaleureusement Lioubov ; j’entends ses foulées s’éloigner. Nous sommes à nouveau seuls. — Alors, ma belle, ça t’a excitée ? Ne me dis pas le contraire : je vois tes cuisses toutes luisantes de cyprine. Tu ...
... mouilles pour un étranger ? Tu ne dois le faire que pour moi. Quatrième leçon : tu n’auras qu’un seul Maître ! Et je vais faire entrer ça dans ta charmante petite tête… Quelques instants plus tard, je sens un contact froid sur l’extérieur de ma cuisse droite ; un contact piquant, comme si plusieurs pointes se déplaçaient sur ma peau en remontant en direction de mes fesses. La sensation est curieuse ; légèrement douloureuse, mais pas vraiment désagréable. À présent, les picotements redescendent sur ma jambe, passent à l’autre et remontent à l’intérieur de ma cuisse gauche en direction de ma vulve ruisselante. Au moment où les pointes vont atteindre mon clitoris dressé dans l’attente de cette caresse perverse, un coup sec cingle mes fesses. Je ne peux retenir un gémissement de douleur, mais surtout de frustration : j’étais sûre que j’allais jouir immédiatement au contact des pointes de cet instrument diabolique sur mon petit bouton en érection. Quel sadique ! Les coups de cravache cinglent toujours mes fesses qui se mettent à me cuire presque intolérablement, mais curieusement la douleur passe et le calme m’envahit. Seule demeure une excitation hors du commun. L’instrument de torture cesse de s’abattre, et c’est ce que je suppose être sa claquette qui vient jouer avec les lèvres déployées de ma vulve. Je me détends et apprécie ces douces caresses chatouilleuses. Un délicieux frisson de désir me traverse, alors je tends mon postérieur autant que possible. Je sens une caresse sur mes ...