Épouse presque fidèle 2 (2)
Datte: 25/12/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... du sac sur mon épaule et prends la direction du bois. S’il y a des promeneurs, notre couple risque d’attiser leur curiosité… Des voitures se garent sur le parking : certainement des gens qui vont au cabinet médical, au conservatoire édifié récemment, ou bien au gymnase ; des bâtiments qui n’étaient même pas encore en projet de construction quatre ans auparavant, lors de notre première rencontre. Lioubov passe l’extrémité de sa cravache sous ma minijupe et la fait remonter jusqu’à découvrir mes fesses. — Et ça, qu’est-ce que c’est ? s’énerve-t-il en remarquant la ficelle à peine perceptible de mon string, pourtant bien enfouie dans ma raie culière. — C’est… c’est un string, fais-je avec une innocence feinte. — Et alors, tu as déjà oublié ce que je t’ai ordonné, petite tête de linotte ? — Euh… (je fais semblant de chercher, car si j’ai mis un string, c’est pour le provoquer). — Pas de sous-vêtements ! À ces mots, il sort d’une poche de son blouson un couteau à cran d’arrêt. Avec un claquement métallique, la lame se déploie, étincelante sous les rayons du soleil automnal. Avec un sourire sadique, il l’applique contre la peau de ma cuisse et remonte lentement en direction de mon entrejambe. « Mon Dieu ! Que va-t-il me faire ? Il ne va quand même pas me… » Mon interrogation s’interrompt en même temps que mon angoisse lorsque je sens la lame passer sous la cordelette de mon string et la trancher d’un seul coup. Lioubov s’empare du trophée et l’agite sous mon nez. — Deuxième leçon ...
... : l’obéissance absolue ! Je lance un regard inquiet en direction des voitures... Des voisins, peut-être ? Ma réputation d’épouse fidèle risque d’en prendre un coup ! — Troisième leçon : la honte ! m’annonce-t-il. « Honte, moi ? S’il savait toutes les cochonneries que je fais en public… » souris-je en mon for intérieur. Mais sans me laisser le temps d’évoquer ces souvenirs scabreux et tellement excitants, il s’énerve : — Allez, plus vite, soumise ; le temps nous est compté. Tu crois que j’ai fait 1500 kilomètres pour te voir te balader sur un parking ? Mène-nous à cet endroit dont tu m’as parlé. En disant cela, il commence à tapoter mon fessier avec la claquette de sa cravache. Oh, pas très fort, mais suffisamment pour me stimuler agréablement. Je fais exprès de passer sous un lampadaire doté d’une caméra de télésurveillance (je sais, pour l’avoir entendu de la bouche de mon mari, que l’agent de la police municipale chargé de la surveillance apprécie de voir des couples s’exhiber volontairement juste au-dessous d’elle), puis je prends la direction d’un sentier qui s’enfonce dans les sous-bois. Après quelques dizaines de mètres, nous nous trouvons face à un monument aux morts ; sur notre droite, d’anciens remparts avec des grilles semblables à celles des prisons qui me font fantasmer. Lioubov m’ordonne de m’agripper aux barreaux en leur faisant face ; ils sont glacés, dans mes petites mains. Il sort deux chaînes et deux cadenas de son sac et s’en sert pour entraver mes poignets ...