Épouse presque fidèle 2 (2)
Datte: 25/12/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... – le froid du métal me fait frissonner – puis il écarte mes jambes, et fait de même avec mes chevilles : je me retrouve écartelée comme une étoile de mer ; seule ma tête est libre de se mouvoir. Je me retourne vers lui ; il tient quelque chose de sombre entre ses mains : il s’agit d’une cagoule faite d’une matière extensible, certainement du vinyle. — Il y a deux ouvertures au niveau des narines : tu pourras respirer. Il y en a une autre pour la bouche, mais je destine celle-ci à un autre usage… ricane-t-il sur un ton sardonique. Il l’installe sur ma tête et zippe la fermeture. Tout d’abord, je panique un peu car je suis totalement aveuglée et je crains de m’étouffer, mais j’arrive à respirer à peu près normalement. L’adrénaline déverse une chaleur enivrante dans mes veines. Un objet effleure le galbe de mes fesses : je reconnais le cuir de la cravache. Ma peau se met à frissonner sous les caresses que Lioubov applique avec cet objet ; je commence à soupirer de plaisir lorsque, sans crier gare, la claquette s’abat sur ma peau tendre, me faisant gémir de douleur. Mes mains agrippent fortement les barreaux à m’en faire mal et mon corps se tend contre eux. Mes fesses se contractent dans l’attente du coup suivant, mais les caresses sensuelles reprennent ; je me détends. La cravache s’abat encore ; cette fois, la douleur est piquante, désagréable sur l’instant, mais pourtant une onde électrique me traverse, reliée à mes terminaisons nerveuses : entre mes cuisses, c’est une ...
... folie brûlante. Ma chatte est trempée, mon clito dressé. Je ne comprends pas pourquoi mon corps aime ces mauvais traitements. Soudain, j’entends des pas – ou plutôt une légère foulée – qui se rapproche de nous ; un joggeur, certainement : ils sont assez nombreux dans ce secteur. Il va me voir ! Que vais-je pouvoir faire, ainsi entravée ? Heureusement, il ne pourra pas me reconnaître, avec la cagoule qui me recouvre la tête. Les pas s’éloignent. Ouf ! Mais ils s’arrêtent, puis se rapprochent en ralentissant. Une voix masculine se fait entendre : — Eh bien, si je m’attendais à ça… On ne s’ennuie pas, d’après ce que je constate ! J’entends Lioubov lui répondre : — C’est un gentil petit animal dont j’entreprends le dressage. Elle est encore un peu rétive, mais entre des mains expertes, je pense qu’elle va s’améliorer rapidement. La conversation s’engage entre les deux hommes : — Elle a vraiment un beau cul, cette petite… — De première qualité ! Et ce n’est qu’une gamine : elle a 36 ans de moins que moi. Je suis d’abord choquée par ces propos, car ils parlent de moi comme d’un bétail ; pour eux, je ne suis qu’un morceau de viande destiné à assouvir leurs envies les plus perverses. Pourtant, cette situation m’excite, et je mouille encore plus ; à présent, mon liquide intime suinte le long de mes cuisses. — Avez-vous remarqué qu’elle mouille abondamment, cette jeune cochonne ? — Je vois ça, en effet, et ça me fait bander. Est-ce que je peux en profiter ? — Oui. Mais seulement avec les ...