1. Épouse presque fidèle 2 (2)


    Datte: 25/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... fesses ; une caresse humide. Oui, c’est bien une langue qui vient atténuer les picotements causés par la cravache. Cette langue descend un peu pour s’insinuer entre mes grandes lèvres qui bâillent de désir, puis je sens une bouche se refermer sur elles pour les aspirer tandis ce cette langue malicieuse se met à en caresser l’intérieur. Je soupire de plaisir ; de délicieux frissons parcourent ma peau. Une excitation, aussi légère qu’une caresse de papillon, contracte mon ventre. Je me concentre sur ces sensations brûlantes et bienfaitrices. Un long filet de mouille s’écoule de mon coquillage, tellement abondant que mon doux tortionnaire ne peut l’avaler en totalité. Averti par son intuition – ou peut-être par sa longue expérience des femmes – Lioubov arrête son cunni juste avant que je jouisse. Je suis déçue, terriblement déçue ; mais peut-être est-ce en rapport avec la frustration dont il m’avait parlée lors de mon arrivée ? Cependant, ma déception ne dure pas longtemps car presque aussitôt je sens quelque chose se frotter contre la corolle de mon anus ; je comprends qu’il s’agit de la verge de Lioubov lorsque son gland passe la barrière de mon muscle plissé. Je suis tellement excitée qu’il n’a que quelques va-et-vient à effectuer pour me faire éclater dans un orgasme intense. Sans un mot, il se retire et me détache. L’ordre tombe, sec : — À genoux ! Le corps encore tremblant de cet orgasme inattendu, la tête lourde et le regard troublé, je m’agenouille dans l’herbe mouillée ...
    ... par la pluie de la nuit. La sensation, d’abord désagréable, devient excitante : en effet, la pelouse touffue chatouille l’intérieur de mes cuisses ; une zone érogène très sensible. — Maintenant, tu peux regarder. Sur ces paroles, il me retire la cagoule. Sous mes yeux, le gland gonflé de Lioubov se dresse ; j’y dépose un doux baiser, lèche sa hampe sur toute la longueur, taquine ses bourses de la pointe de ma langue et remonte lentement jusqu’à son gland que j’absorbe délicatement entre mes lèvres serrées, puis j’aspire son sexe profondément dans ma bouche jusqu’à la garde. J’apprécie le goût particulier de sa verge que je suce avec gourmandise comme un enfant le ferait avec un sucre d’orge. Le contact de sa peau sur ma langue est extrêmement érotique. vhsvnndf Je lève les yeux vers le visage de Lioubov. Son regard est troublé, ses traits tendus dans l’attente de l’explosion imminente. Sa vigueur m’impressionne ; après tout, à 70 ans, il est encore plus âgé que mon père. Je retire sa hampe de ma bouche jusqu’au frein – elle est brillante de salive – puis je l’aspire entièrement d’un coup sec. Lioubov gémit. Son gland chatouille ma gorge. Je recommence plusieurs fois. Il gémit de plus en plus fort. Je suce vigoureusement sa verge, mes yeux fixés sur les siens. Ses gémissements deviennent des cris. Ses mains empoignent mes cheveux. Son bassin accompagne les va-et-vient de ma bouche. Mes lèvres gonflées s’engourdissent. Il pousse des hurlements tandis que sa verge grossit encore ...
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