Autres petits fantasmes avec Clarisse - Histoires de Sexe

Autres petits fantasmes avec Clarisse

Une simple poussée sur le tabouret de bar pivotant sur lequel Clarisse était courbée lui fit effectuer un demi-tour complet, l’amenant face à la queue de Nicolas qui venait de la ramoner en profondeur. Elle y remarqua d’ailleurs l’humeur laiteuse qui lustrait la hampe dressée et son odeur intime lui remonta aux narines. La poigne autoritaire qui saisit sa chevelure pour amener sa bouche à la rencontre du phallus dicta sa conduite : elle le goba docilement. La prise se verrouilla à l’arrière de son crâne, les premiers allers-retours entre ses lèvres furent imprimés avec détermination, elle comprit que cette fellation allait se résumer à un coït buccal. À l’opposé, je la repositionnai lestement en levrette, la croupe cambrée et les cuisses écartées exposant sa chatte de manière impudique. J’empoignai ses hanches et, dans la foulée, je l’embrochai sans préliminaires car je bandais déjà comme un étalon en rut et pour sa part, elle était suintante de mouille. Le mouvement de va-et-vient s’enclencha dans une cadence soutenue marquée par mes « han ! » de bûcheron. Elle aurait aussi certainement miaulé de plaisir si mon complice, en s’enfonçant dans sa gorge, n’avait étouffé dans l’œuf les bruits qu’elle émettait. Nous avons dès lors alterné entre ces deux orifices au gré des voltes du siège que nous déclenchions quand nous désirions permuter nos postes. Lors d’un passage à l’ateliertaillage de pipe, Clarisse perçut un changement d’attitude chez Nicolas car il exigea qu’au lieu de ...

... le pomper, elle le lèche sur toute sa longueur, la langue étalée à plat comme si elle dégustait une glace, dans le but avoué de l’oindre de salive avec soin. Elle comprit ses intentions à la rotation suivante de 180 degrés lorsqu’il délaissa la vulve ardente pour placer directement son gland quelques centimètres plus haut dans le sillon fessier, à l’orée de l’anus encore cacheté. Il n’eut qu’à exercer une pression régulière pour s’y enchâsser puis qu’à asséner quelques coups de bélier pour faire céder les verrous de la porte de derrière. Cette voie avait été en effet ouverte il y a longtemps et elle était depuis régulièrement empruntée ; il n’en demeurait pas moins que son usage suscitait toujours chez Clarisse des sensations troubles de plaisir et de douleur mêlés. Je me délectai de décrypter ces réactions sur ses traits, me contentant de la dévisager en la maintenant fermement par les cheveux sans solliciter l’habituelle gâterie. Elle pouvait en conséquence enfin exprimer son excitation de façon claire et sonore. Ses feulements redoublèrent lorsque, après s’être planté d’un grand coup de bite dans sa rondelle, Nicolas passa un bras sous ses genoux pour la soulever du dossier et se déplacer soudés l’un à l’autre jusqu’au canapé dans lequel il s’assit, entraînant sur lui sa partenaire. Son bas-ventre s’anima alors comme un piston pour reprendre le labourage anal tandis que ses paumes furent attirées tels des aimants par les seins désormais accessibles. Je grimpai sur le sofa ...