Autres petits fantasmes avec Clarisse - Histoires de Sexe

Autres petits fantasmes avec Clarisse

... désert. J’entendis une voix connue susurrer mon prénom, j’ouvris la porte, celle qui était réservée fort logiquement aux femmes. J’y trouvai Clarisse sagement assise, en position d’attente : les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes, la tête relevée, les poignets derrière le dos. Alors que je tirais le verrou pour nous isoler complètement, je sentais déjà un désir irrépressible poindre dans mon bas-ventre. La coquine était assurément douée pour aguicher les mâles, il fallait pourtant que je lui montre qu’elle n’était pas tombée sur un perdreau de l’année. La partie aurait été facilement gagnée en la laissant essayer de déboutonner mon jean avec les dents ; il faut avouer que bien que vainqueur, j’en aurais été aussi très frustré. Je descendis donc à mes genoux pantalon et boxer pour mettre à nu l’objet de ses futures attentions. J’aurais aimé par orgueil lui présenter un pénis parfaitement au repos, mais force était de constater que mon érection était déjà bien avancée, résultat d’une mise en scène savamment orchestrée. Elle commença à jouer avec cette rigidité naissante en faisant tressauter ma queue par d’habiles petits coups de langue. Ces contacts rapides lichaient au passage mon frein et finirent par me faire parfaitement durcir. Clarisse stabilisa alors mon gland entre ses lèvres pour l’ingurgiter lentement en me fixant droit dans les yeux. À cet instant précis, je me disais que tout homme normalement constitué aurait rêvé d’être à ma place, et je remerciais ...

... intérieurement je-ne-sais-quelle divinité que ce soit moi qui aie été l’heureux élu. Je fus vite tiré de ces méditations par les délicieuses sensations provoquées par une succion aussi délicate qu’intense. Le va-et-vient sur environ la moitié de ma hampe avait en effet adopté un tempo modéré, mais il était combiné à une redoutable activité de la langue qui tournoyait sans relâche autour de mon membre. Même si je m’étais juré de garder un flegme absolu, je ne pus m’empêcher d’exprimer de petits râles de contentement. Ainsi assurée d’être sur la voie de la réussite, Clarisse passa à l’étape suivante en attaquant ce qu’elle savait être mon point faible. C’était en effet loin d’être la première pipe qu’elle me taillait, elle connaissait donc parfaitement chaque centimètre carré de mon anatomie génitale et ce qui me faisait immanquablement chavirer. Elle glissa son visage sous mon phallus pour aller laper mes bourses, puis elle happa mes couilles pour les tournicoter sans relâche. Durant cette séance d’exquise torture testiculaire, je dus me retenir aux murs du cabinet pour garder un semblant de stabilité, espérant que, toute concentrée à sa tâche, elle ne s’apercevrait de rien. Il est certain que si elle avait pu se servir à ce moment de ses mains pour me branler simultanément, j’aurais joui sans coup férir. Tous mes poils se sont ensuite hérissés en sentant sa langue remonter le long de ma veine, elle bascula avec habileté au sommet pour reprendre ma bite en bouche et lancer le sprint ...