Autres petits fantasmes avec Clarisse
Datte: 28/12/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
toilettes,
hdomine,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
attache,
totalsexe,
... final sous la forme d’un pompage en bonne et due forme. Elle me délivrait cette fellation comme si sa vie en dépendait : sa tête s’activait d’avant en arrière à un rythme infernal, ses babines jouaient le rôle de ventouses avides, ses joues se creusaient pour mieux m’aspirer, tout cela dans un bruit de clapotis baveux. J’aurais dû tenter de rester de marbre mais l’instinct viril prit le dessus et je vins à la rencontre de son palais par de légers déhanchements. Mon gland frappa ainsi à l’entrée de sa luette, Clarisse rectifia légèrement l’angle d’attaque, je m’enfournai à la poussée suivante dans sa gorge par définition profonde. Elle me gobait désormais jusqu’à la garde, obtenant là un avantage décisif. Le coup de grâce fut assené quand, le nez planté dans mon pubis, elle parvint à caresser le dessous de mes testicules avec sa langue. Des spasmes me secouèrent, un grognement naquit du fond de mon être, je pris sa tête entre mes mains pour la plaquer encore un peu plus contre mon bassin et j’éjaculai à grands traits directement dans son gosier. Ce furent ses plaintes contre un étouffement naissant qui me firent me retirer de cette gangue où je serais resté campé des heures durant. Son sourire de satisfaction du pari remporté était orné des filets de salive qui reliaient mon sexe à la commissure de ses lèvres. Mais sa joie se changea soudain en stupeur quand des cognements résonnèrent contre la porte, accompagnés d’une question : — Vous avez bientôt fini, là-dedans ? ...
... Clarisse avait dû pousser le bouchon un peu trop loin dans la minauderie, à me chauffer en veillant à ne pas provoquer ma combustion spontanée. Il n’empêche qu’elle avait franchi le point de non-retour, et dans un jeu de rôle que nous pratiquions de temps en temps j’avais endossé mon costume de dompteur impitoyable d’une tigresse rebelle. Je l’avais ainsi basculée au-dessus de mon épaule, transportée dans la chambre, jetée sur le matelas et immobilisée par pur avantage de force physique. Elle continuait pourtant à simuler l’indocilité, je retirai alors prestement ma ceinture et attachai solidement ses poignets aux barreaux de la tête de lit. Alors qu’elle continuait à se débattre pour la forme, je l’immobilisai complètement en liant ses chevilles de chaque côté du sommier grâce à des bas que j’avais dénichés dans sa commode. Je pris un peu de recul pour la contempler ainsi ligotée, à ma merci, à peine vêtue de lingerie fine. Elle s’était assagie, sa respiration soulignée par les oscillations de sa poitrine se calmait, mais son regard était rempli de défi en dépit de sa position de captive. Je comptais bien lui faire ravaler sa fierté en lui faisant implorer grâce. Un endroit unique était la cible de mes projets fripons, c’était la terre promise de son bas-ventre que ses jambes maintenues écartées m’auraient largement exhibée si elle n’avait pas été dissimulée par une ravissante culotte en dentelle blanche. Qu’à cela ne tienne, je me débarrassai de l’encombrant sous-vêtement dans ...