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Autres petits fantasmes avec Clarisse
Datte: 28/12/2018, Catégories: fh, fhh, toilettes, hdomine, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, attache, totalsexe,
... pour présenter mon pénis à la hauteur du visage de Clarisse qui l’engloutit sans hésitation. Je l’encourageai de la voix et du geste par des pressions sur sa nuque à bien me sucer pour que je recouvre toute ma rigidité. Une fois l’entreprise couronnée de succès, je redescendis d’un étage et je me plaçai face au couple sodomite. J’ouvris solennellement les deux vantaux des jambes féminines pour me dégager le chemin vers la minette inoccupée. Il aurait fallu être un saint pour résister à la tentation… Je la pénétrai avec d’autant plus de délectation que je sentais son vagin étréci par la présence de Nicolas dans le fourreau parallèle. Seule une mince paroi nous séparait et il me semblait percevoir les pulsations de nos dards à travers elle. Clarisse nous notifia par ses gémissements qu’elle appréciait également d’être comblée de la sorte. Nous l’avons limée parfois simultanément, parfois en discordance, mais le résultat était à la hauteur de nos efforts : elle jouissait sans interruption, les orgasmes se succédant par paliers de plus en plus intenses. De notre côté, nous avons éjaculé à quelques secondes d’intervalle, le premier entraînant sans aucun doute le second, et nous nous sommes déversés avec force et râles dans nos cavités respectives. Reprenant doucement ses esprits après ce moment d’extase, Clarisse devait se dire qu’elle avait vraiment tiré le gros lot en choisissant deux colocataires comme sex-friends ! Il y avait quelque chose de surprenant chez Clarisse : ...
... comment une jeune femme si charmante, qui paraissait si sage, atavisme de ses origines bourgeoises, pouvait-elle se transformer en un succube assoiffé de sexe ? Certainement qu’une idée germait dans la part libertine de son esprit, ses yeux se mettaient alors à pétiller et elle vous confessait ses fantasmes dans des termes qui en auraient choqué plus d’un. « Il faut appeler une chatte une chatte » disait-elle quand on lui faisait remarquer que son vocabulaire mériterait d’être plus châtié ! Je me souviens d’un jour où nous étions tranquillement dans un bar, en train de siroter nos consommations, quand elle m’affirma à brûle-pourpoint avec cette étincelle caractéristique dans son regard : — Je parie que je pourrais te faire gicler rien qu’avec ma bouche. Je n’étais plus du genre à me démonter devant ce genre de déclarations, je commençais à connaître la donzelle pour l’avoir pratiquée. Elle jouait la provocatrice, je me devais d’avoir de la répartie. Un bref dialogue s’engagea entre nous : — Juste la bouche, sans les mains ?— Tout à fait.— OK… ici, maintenant ?— Chiche ?— Pari relevé ! Je lui indiquai que les toilettes me paraissaient l’endroit le plus indiqué pour ce genre d’exercice, et je l’invitai à me devancer pour éviter de nous faire remarquer. Elle se leva en me gratifiant d’un « à tout de suite » plein de promesses. Je laissai s’écouler une minute qui me parut durer une éternité puis je rejoignis à mon tour les lieux d’aisances. La chance était avec nous, l’endroit était ...