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Ôléauduc
Datte: 30/12/2018, Catégories: ff, ffh, fbi, couple, inconnu, plage, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme 69, pénétratio, fsodo, init, mélo,
... courbée en deux, trouvant mon chemin à tâtons. Dix ou quinze mètres de spéléo dans un boyau d’un mètre cinquante de haut amènent au bord du petit lac caché par les parois du gouffre. Aucun vent ne vient troubler l’onde translucide. Un délicat rayon de soleil s’attarde sur un rocher où je dépose mes affaires avant de me baigner nue dans l’onde froide et tonifiante. Le soleil m’a réchauffée pendant une heure encore, allongée sur une pierre plate. L’ombre gagnant tout l’espace, je remontai sans problème vers le sentier du retour. Durant cet été là, j’y suis retournée souvent pour goûter la fraîcheur de l’endroit. Je pouvais compter sur 4 ou 5 heures de soleil intense au milieu d’une fraîcheur parfaite. La solitude ne me pesait plus comme avant, chaque visite était un bonheur renouvelé qui nourrissait amplement mon imaginaire, mes mains faisant le reste. C’est moins bien qu’à deux mais la monosexualité est aussi intéressante que l’hétéro ou la bi. Toutefois, un matin je fus surprise par l’arrivée d’un couple. Je suis sortie immédiatement de l’eau, dès que j’ai entendu leurs voix, pour me cacher nue derrière un rocher. Loin de mes petites affaires restées de l’autre côté de l’eau. Je suis conne parfois faut dire. Le couple avait l’air familier de l’endroit et ils se sont installés au soleil avant de rentrer directement dans l’eau sans faire de manières, moi qui met une demi-heure avant de rentrer complètement. Ces corps nus dans l’onde pure étaient beaux comme la nature minérale ...
... et aquatique de ce site. Ils rejouaient une scène primitive d’éternelle suave sauvagerie. Eux aussi ont perçu l’aspect primitif du moment et ils n’ont pas été longs à rejouer la guerre du feu. Il l’a prise tout de suite en levrette sans autre préliminaire que le malaxage d’un sein et d’une fesse ronde et blonde pendant qu’il vérifiait rapidos, chez sa partenaire, les plombages du fond avec sa langue. Elle n’avait pas l’air de s’ennuyer du tout. En bonne cochonne elle s’est retirée pour qu’il jouisse dans sa bouche. Une petite baignade et ils ont remis ça, mais moins dans l’urgence que tout à l’heure. Des bisous partout et dans toutes les positions; quelques classiques incontournables et d’autres plus inventives. Le spectacle n’avait rien de rédhibitoire et, pour lutter contre le froid, je m’astiquais fortement la fente avec la main droite et l’anus avec le majeur gauche. J’avais déjà bien chaud quand l’homme, plein de nouvelle vigueur, a installé sa compagne dans la position sans équivoque de celle qui va se faire enculer. Ce qu’il fit après avoir feuille-de-rosé puis doigté l’œil délicat. Moi je n’en pouvais plus, mais elle n’en a jamais rien su jusqu’à ce que je me redresse, debout, le corps tendu par la jouissance voyeuriste et masturbatoire. Sa queue de belle taille est rentrée d’un coup au fond de ce cul bien préparé et sans doute habitué. Ses yeux à elle ont chavirés et elle a poussé un cri du fond des âges. Plus il allait et venait et plus elle se cambrait et râlait. ...