Ôléauduc
Datte: 30/12/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
fbi,
couple,
inconnu,
plage,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
69,
pénétratio,
fsodo,
init,
mélo,
... Son regard flou à croisé le mien dans une fixité brouillée par le plaisir ; simultanément nous avons eu un orgasme d’une force incroyable. Nous avons hurlé tout les trois dans ce trou de soleil au milieu des alpages. L’écho nous renvoyait nos râles mélangés aux autres en une ultime union, une dernière goutte de plaisir. L’épectase par la bouche et par le sexe, le sublime aux deux bouts du tube digestif pour elle. La surprise de m’avoir vue jouir alors qu’elle ne m’attendait pas. J’étais apparue comme un lutin hors de sa boîte. D’un seul coup j’étais là, voyeuse et onaniste. Me voir jouir la faisait jouir. La voir jouir me faisait jouir et lui était loin d’être hors circuit quand il lui envoya de longues giclées de sperme dans l’anus. Il aurait aimé qu’on l’encule aussi à ce moment là. Je suis rentrée dans l’eau pour calmer le feu de mon con brûlant et dégoulinant. Je n’avais plus rien à cacher maintenant. Elle est venue à ma rencontre et comme deux vieilles amies nous avons papoté au milieu de l’onde. Le plus naturellement du monde nous avons fait le commentaire de notre rencontre. Soulignant les points forts, revisitant les passages les plus mémorables, saluant les performances de l’homme beau et fort. Elle était là, nue, les seins flottants dans l’eau et la lumière. Sa bouche bien dessinée souriant sur des dents de nacre. Des quenottes. Ses regards profonds. Mes tabous tombés au fond du gouffre, je n’étais plus moi-même et les mouvements de sa bouche humide me fascinaient ...
... comme un bébé est illuminé par le sein de sa mère. Avec sa permission je l’ai doucement embrassée. Je me souviens que je trouvais sa bouche plus douce que celle des hommes, sa langue plus experte que ce que je connaissais. Nous sommes sorties de l’eau et sur la pierre plate nos corps se sont rencontrés et elle m’a fait l’amour avec sa langue, ses doigts, son corps. J’ignorais qu’il restait encore de telles ressources de plaisirs. Elle m’a pénétrée la chatte, l’anus et j’ai goutté son corps dedans et dehors. Absorbée par ma tache je ressentais une plénitude jamais rencontrée avec un homme, j’étais bien, j’étais moi, le plaisir était là, omniprésent. J’eus un puis deux puis trois orgasmes. Elle a rentré un, puis deux, puis trois doigts dans ma chatte puis dans mon cul ; allongée sous moi elle m’a maintenue à quatre pattes, les fesses à l’air et tendrement elle m’a dit de me laisser faire. J’ai compris quand la bite de son homme est rentrée doucement dans mon con puis dans mon cul bien ouvert, bien huilé par nos mouilles. La petite douleur a occupé un court instant mon boyau puis s’est transformée en plaisir (il faudra que je recommence me dis-je, pour savoir si ça ne fait mal que la première fois comme disait Desproges) Son homme me donnait des coups de boutoir pendant qu’elle me branlait la chatte sauvagement. Les couilles tambourinaient mon périnée pendant qu’elle se déchaînait sur mon corps. La jouissance est arrivée d’un coup, fulgurante, presqu’intolérable. Un orgasme comme ...