1. Jeux entre frères (10)


    Datte: 30/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    — Tout le monde à suffisamment mangé ? Alors, place au dessert ! s’exclame Lyli. Il est vrai qu’avec cette chaleur personne n’avait très faim, mon frère et moi avions le trou de balle bien rempli par les crayons et nos jeux nous suffisaient largement. — Antoine viens te pose sur la table, à plat ventre. Nous allons libérer ton derrière, tu as été très courageux et il faut qu’il se repose un peu, n’informa Elsa. Je pris la position demandée, et elles retirèrent la queue en branchage, puis les crayons un à un qu’elles rangeaient côte à côte et bien alignés. — Compte-les ! dit-Lyli. — Je comptais un, deux…cinq…dix…quinze…vingt ! Vingt cinq…vingt six ! — Waouh…tu en as pris vingt six plus la queue ! Bravo t’es un champion. Je me sentais beaucoup mieux, mais j’avais le sentiment qu’un léger courant d’air entrait dans mon cul. Je passais mon doigt sur mon rectum, et je constatais qu’il ne s’était pas entièrement refermé, pris de panique je demandais : — Mais mon cul ne va pas rester comme ça ? — Ah, tu as des courants d’air ! Ne t’inquiètes pas, ça va revenir normalement rapidement, répondis-Lyli. Puis se fut le tour de mon frère d’être libéré de ces crayons, et il n’en totalisait que dix huit ; j’avais gagné ! — Bien, Antoine ! Attache ton frère ici ! m’ordonna-Elsa. L’endroit se trouvait sous l’appentis avec les anneaux où je devais suspendre mon frère. Ce fut avec ma tête de vainqueur que je pris un malin plaisir à attacher ses poignets au plafond de cette salle de torture en ...
    ... plein air. — Attache-lui aussi les pieds! ajouta-Lyli. Sans dire un mot, je fixais les chevilles du condamné aux piquets enfoncés dans le sol ; les bras et les jambes en croix il ne pouvait plus bouger et se retrouvait ainsi à la merci de tous. — Alors esclaves, comment trouvez vous ce jeu ? interrogea Lyli. — Très, très amusant et aussi très…jouissif, Maîtresse ! fayotais-je. La réponse que je venais de faire, la vue du corps nu, halé et presque totalement imberbe de mon frère me fit vibrer quelque peu. Je me posais la question de savoir qui je préférai : mon frère ou mes cousines ? Après une courte réflexion je penchais pour… — Antoine ! Fait bander ton frère, je ne veux pas voir sa bistouquette toute mole ! me cria presque Lyli. Alors j’entrepris de réveiller l’objet du délit. — Touche-le, caresse-le, pince ses petits tétons, joue avec ses boules et enfin suce-le ; je veux qu’il bande très fort ! énuméra-Elsa. Je me mis à l’ouvrage et avec une grande conscience professionnel : je l’ai touché, caressé, lui ai pincé ses nénés, j’ai joué avec ces boules et enfin sucé. Je le suçais comme me le faisait mes cousines, avec douceur, délicatesse et je le mordillais aussi ; j’aimais ça. J’avais réussi, mon frère bandait comme un beau diable. Sucer mon frère ou lécher la minette d’une de mes cousines était un plaisir identique ; j’étais donc bi ! Ma réflexion s’arrêta là car, Lyli me prit par le bras et me conduisit derrière mon frère ; par plaisir, je lui touchais son joli cul. Lyli ...
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