Jeux entre frères (10) - Histoires de Sexe

Jeux entre frères (10)

... chocs tendaient les cordelettes, ce qui avait pour effet de tirer sur nos tétons. Les poids suspendus à nos testicules se balançaient de plus en plus ; j’avais mal partout. Je serrais tout ce que je pouvais : les poings, les dents, les fesses, mais en silence ; je jouissais. Ce plaisir aux sensations indescriptibles avait quelque chose d’exceptionnel, d’étrange et de particulièrement jouissif. Prisonniers de mes liens, mon sexe bouillait d’impatience ; et j’espérais encore plus de choses et plus de douleur. Lyli me torturait vicieusement, elle dû entendre mon désir car elle cessa de me frapper, passa devant moi et s’agenouilla, et entreprit une fellation d’un autre monde. La traction du poids distendait de plus en plus la peau de mes roustons, le frein de mon bâton était distendu et mon gland à nu. Alors qu’elle tirait sur mes testicules, quelque chose entra dans mes fesses au plus profond de moi et se mit à vibrer très fort. Elle s’enfonça ma bite dans sa gorge, la masturba, me tira encore sur les couilles ; de puissants jets de sperme sortirent de mon sexe en furie. Je me crispais et secoué par un terrible orgasme qui me fit, l’espace d’un instant, tourner la tête ; je venais de découvrir un nouveau plaisir. Je m’aperçu que : non content d’être bi, j’étais devenu aussi sadique que maso. Elles nous avaient littéralement vidés, surtout les roustons ! J’avais terriblement mal aux tétons, à mon cul, à mes couilles à cause de la cordelette et à mon sexe ; mais j’étais ravis et ...

... heureux d’avoir découvert ce plaisir. Elles nous libérèrent et nous laissèrent nous allonger sur l’herbe. À plat ventre, je me suis endormi sous les douces caresses de Lyli qui m’enduisait tout le corps de crème ; elle était glaciale lorsqu’elle me l’appliquait sur les fesses. Au réveil : — Alors les garçons ! Cela vous a-t-il plu ? — Oh oui ! C’était super, douloureux ; mais super, quels vacances ! — J’espère que vous en garderez un bon souvenir ; la fin approche ! Elle ne croyait pas si bien dire, car la fin de nos vacances approchait à grands pas ; elle était même programmée pour le lendemain. J’étais un triste de les quitter ; mais heureux de revoir maman. — Maintenant qui vous êtes des hommes, nous levons votre statut d’esclaves, et je pense que vous pourriez faire une petite balade, histoire de vous changer les idées. Un petit footing par le chemin qui fait le tour du pré, et vous allez voir que courir ou marcher nu, en pleine nature est très agréable. Nous allons nous occuper des bêtes et préparer la soirée pendant ce temps. Allez fichez le camp ! Elle avait raison, un bol d’air nous fut bénéfique. Au petit trot, nous empruntions le chemin qu’elles nous avaient indiqué. C’était simple, il faisait le tour des prés en passant par les bois et était repéré GR 45 ; donc pas de risque de se perdre. Mais il y en avait le risque de faire une rencontre fortuite, et de croiser des randonneurs ou peut-être ces gens pratiquant la randonue. Courir en tenue d’Adam avec comme seul ...