1. Jeux entre frères (10)


    Datte: 30/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... me tendis une sorte de longue planchette terminée par une poignée ; j’appris un peu plus tard que cet objet s’appelait un paddle. Par mimes elle m’ordonna de frapper les fesses de mon frère. J’hésitais, elle insista. Je pris l’engin par la poignée et donna un coup sur le petit derrière de mon frangin qui n’eut aucune réaction. Alors, elle me fit signe de frapper plus fort et sur les deux fesses mais une après l’autre ; ce que je fis. Je frappais, et à ce moment là, tout le corps de mon frère à demi suspendu s’avançait à chaque coup. Amusé, je continuais à frapper ; mon frère gémissait, geignait et râlait aussi. Ses plaintes m’excitaient de plus en plus, alors je redoublais de force et je tapais très fort ses fesses rougissaient : — Aïe…Ouille…Waouh…Argh …Ouille ouille ouilleee… ! L’entendre se plaindre, voir ses fesses rougir, et lui se tortiller dans tous les sens me fit bander à un tel point que mon bâton passa à la verticale, gonflé et dur comme du bois. — Et bien esclaves ! À vous voir, on dirait que vous aimez ça ! s’exclama-Elsa. — Tu as raison Elsa, maintenant nous allons pouvoir nous amuser ! approuva-Lyli en se frottant les mains. Elle me prit l’outil des mains et, laisse en main, elle me tira jusqu’à l’endroit où j’étais attaché avant le repas. Je me retrouvais face à mon frère, en croix et à moitié en suspend ; je pouvais admirer son corps étiré et son membre à la verticale. Nos cousines, nous bâillonnèrent et placèrent autour de nos bourses une cordelette ...
    ... terminée pas un nœud coulant ; puis elles tirèrent dessus. La traction étirait la peau de nos bourses et me procurait un plaisir très particulier. Non contente de nous tirer sur les bourses, elles attachèrent des poids au bout de la cordelette ; la tension mis mon gland à nu. Elles donnèrent un mouvement au poids qui se balança, et augmentait l’étirement de la peau ; je voyais les couilles de mon frère descendre petit à petit. Ne pouvant voir comment cela se passait pour moi, inquiet, j’imaginais un instant que mes roubignoles finiraient par toucher le sol. Mais ce que nous ne savions pas, c’était que notre calvaire - si l’on peut appeler cela ainsi - ne faisait que commencer. — Ça va toujours ? demanda Elsa. — Oui ! avions-nous répondu en cœur. Armées de pinces à linge et de cordelette, elles emprisonnèrent nos tétons avec les pinces qu’elles relièrent entre elles avec les cordelettes, deux à deux et en croix. Dès que nous bougions, les cordelettes se tendaient et tiraient sur nos tétons ; et ça faisait un peu mal. Nos plaintes restaient muettes, et nos cousines terminèrent leur installation en accrochant un autre poids à l’intersection des deux cordelettes. Ces poids, de forme hexagonale, servaient jadis à peser les fromages sur l’antique balance Roberval posée dans la laiterie. Je compris très rapidement la finalité de tout cet harnachement quand elles passèrent derrière nous, armées de leurs paddle ; elles nous frappèrent les fesses. Les mouvements de nos corps engendrés par les ...