1. Jeux entre frères (10)


    Datte: 30/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... guide ces marques de peinture rouge et blanche sur les arbres et les pierres me stressait un peu. Et si on se perdait ? Comment allions nous faire sans téléphone ? Je regrettais d’avoir accepté cet exercice mais j’étais excité malgré tout. Imaginez-vous à poil, sur un chemin de randonnée inconnu, sans téléphone et juste le balisage du GR comme repère ; il y a de quoi flipper, non ? Peu importe, je pris sur moi et mon frère me taquinait pour me détendre : ebpeccv — Alors, frérot, Elsa trouve que tu as un joli petit cul tout bronzé, mais un peu rouge ? remarquai-je — Fais gaffe, j’entends des gens ! Je tendis l’oreille, il avait raison ; panique à bord ! — Julien, qu’est-ce qu’on fait ? — On… on courre, comme si de rien n’était. Les voix se rapprochaient, j’étais devant mon frère et le premier à voir et être vu. Deux filles et deux garçons, nus et sac à dos sur le dos trottinaient. Arrivés à notre hauteur, je constatais qu’ils étaient un peu plus vieux que nous ; par contre, il étaient tout blanc. — Bonjour, c’est cool ici pour faire de la randonue. — Bonjour, oui c’est vrai, répondis-je. — Vous connaissez le coin ? — Un peu, pourquoi ? — Il parait qu’il y a une fabrique de fromage dans le coin ? — Oui elle n’est pas très loin. — Alors vous connaissez ? demanda une des deux charmantes jeunes filles. — Oui, ce sont nos cousines qui élèvent des moutons, vous voulez y aller ? — Bien sur, c’est où ? — Facile, vous continuez le chemin et arrivé au calvaire, vous prenez à gauche, ...
    ... vous montez jusqu’à la bergerie ; les chien servirons de sonnette, ne craignez rien, ils ne sont pas méchant. — On peut y aller dans cette tenue ? — Pas de soucis, nous travaillons nus. — Bien, merci et bon jogging. — A plus, répondis-je Cette rencontre et la beauté idyllique de ces gens, me donnaient envie de vivre tout le temps ainsi. J’étais si bien, avec le vent qui jouait avec mon corps, les feuilles et les ronces qui tantôt caressaient et parfois me griffaient. Écouter le silence transpercé de temps à autre par le cri d’un rapace en chasse de nourriture, ou encore ; les animaux sauvage qui nous déboulaient dessus au détour du sentier. Je m’étais retrouvé le cul dans les fougères avec le palpitant qui battant à cent à l’heure, tout ça à cause de je ne sais quelle bestiole qui surement par trouille avait faillit le rentrer dedans. À notre arrivée, les deux couples rencontrés auparavant étaient attablés à l’extérieure de la petite maison avec nos cousines, un verre à la main ; ils discutaient et riaient bruyamment. — Ah, voila les cousins ! s’exclama Lyli. — Ah, mais se sont eux que nous avons croisés tout à l’heure ! Merci pour le renseignement, vos cousines sont charmantes. — Allez, venez nous rejoindre ; aujourd’hui c’est la fête ! — Euh, on fête quoi ? demanda Julien. — En vous attendant, nous avons discuté et un peu bu avec nos amis, enchaina Elsa. — Et… ? — Venez boire un coup et après on va faire un jeu, on va vous expliquer repris Lyli. — Quoi, comme jeux ? Le jeu ? ...