Monsieur le directeur
Datte: 06/01/2019,
Catégories:
fh,
ff,
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fbi,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
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... Emmanuelle poussait des cris étouffés mais caractéristiques. Marion appréciait le mouvement régulier et appliqué qui, en elle, allumait peu à peu un feu grandissant. L’éjaculation la surprit un peu mais elle en dégusta toutes les saccades chaudes au fin fond de son ventre. Emmanuelle, rompue d’extase, se coucha sur son homme pour un baiser langoureux. — Je suis désolé, j’avais tellement envie que je n’ai pas réussi à me contrôler, avoua Jean-Michel, essoufflé.— C’était parfait… murmura Marion. Elle posa un baiser sur ses lèvres. Ils s’écartèrent de la fenêtre au moment où Hervé et Emmanuelle regagnaient leur chambre, main dans la main. Marion ne proposa pas à Jean-Michel de rester passer la nuit. Il n’en sembla pas contrarié. Marion se coucha et ferma les yeux. Le sommeil était à portée de rêve, elle se sentait bien. Au moment de sombrer, elle se souvint de ce qu’elle avait répondu à Jean-Michel pour le rassurer. — C’était parfait… Malicieusement, elle en sourit. Etait-ce réellement à Jean-Michel qu’elle avait dit ça… ************************************************* Marion se réveilla à 10 heures. Elle avait dormi comme un bébé, d’un sommeil plein de doux rêves qui, à bien y penser, ne pouvaient pas être des rêves de bébé… En descendant à la cuisine, elle se sentit honteuse de se lever à cette heure indécente. Emmanuelle ne la blâma pas ; elle aussi, en paréo bariolé, était en train de terminer son petit déjeuner. — Voyons, Marion, c’est le week-end, on ne va tout de même ...
... pas vous demander de descendre à l’heure du bureau ! Tenez, je vous conseille les croissants, ils sont tout chauds. Au fait, avez-vous passé une bonne nuit ? La question était simple, la réponse était complexe. Marion l’éluda avec un classique « Très bonne, je vous remercie », ce qui, finalement, n’était pas un mensonge. — Hervé est parti il y a un quart d’heure. Il a dû emmener Jean-Michel à la gare, une affaire urgente, apparemment, réclamait sa présence.— J’espère que ce n’est rien de grave, dit Marion poliment. Elle se sentait moyennement attristée par ce départ imprévu. — Non, je ne crois pas. Toutefois, j’ai cru sentir, chez lui, comme de la déception de partir si tôt. Il m’a recommandé chaleureusement de vous dire qu’il aurait aimé vous saluer, ajouta Emmanuelle, un sourire entendu au bord des lèvres.— C’est gentil de sa part, conclut Marion, un peu gênée par l’allusion.— Ça vous dirait d’aller vous balader aujourd’hui, ou préférez-vous jouer les lézards au bord de la piscine ?— Ne vous dérangez surtout pas pour moi. La piscine, ça me va parfaitement. L’idée de s’éloigner de la maison ne tentait pas Marion le moins du monde. Les deux femmes discutèrent un moment, de tout et de rien, en dégustant un copieux petit déjeuner. Elles se retrouvèrent un peu plus tard sur les transats, baignant dans les rayons généreux du soleil de juin. Après quelques instants, Emmanuelle se redressa et retira, le plus naturellement du monde, le haut de son maillot de bain. — J’espère que vous ...