Monsieur le directeur
Datte: 06/01/2019,
Catégories:
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piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ecriv_c,
... premier vœu, j’aurai besoin de vous… Comme vous le savez, je trouve votre mari très… séduisant. Disons que… comment dirais-je… que je brûle de le connaître mieux. Mon premier vœu sera donc que vous me le présentiez… en détail…— Avec plaisir ! Et je crois que c’est exactement le mot qui convient, répondit Emmanuelle en se levant. Marion se leva à son tour et vint à sa rencontre. Malgré elle, elle ressentait les dernières bribes de ce qui aurait pu ressembler à de la culpabilité, de la méfiance ou de la réserve. Alors elle chercha, et trouva immédiatement dans les yeux d’Emmanuelle une réponse aux questions qu’elle ne voulait plus se poser. Le corps d’Emmanuelle était un appel au plaisir, un trésor de sensualité, et son regard en était le sésame. Les visages des deux femmes s’approchèrent et leurs lèvres s’embrassèrent avec une sensualité inouïe. Leurs langues entamèrent une danse de l’amour, se croisant et s’entrecroisant avec une ardeur grandissante. Les femmes se séparèrent dans un délicat bruit de succion et, de concert, tournèrent la tête vers l’homme. Leurs regards se croisèrent, leurs sourires en dirent long sur leur nouvelle complicité. Dans leurs yeux brillaient les mêmes flammes du désir. Un désir fou et irrationnel. Un désir vrai que seule la passion peut engendrer. La passion de l’instant. Un instant magique et inoubliable. Inoubliable, c’était déjà voir trop loin, seul le présent comptait. Le pacte était scellé. Le jeu pouvait commencer. Elles s’agenouillèrent de ...
... part et d’autre de l’homme. — Marion, je te présente Hervé, mon mari. Marion plongea son regard dans les yeux d’Hervé. Jamais elle ne les avait vu aussi bleus, aussi beaux, aussi près d’elle. Ils étaient là pour elle. Et c’est vraiment elle qu’ils regardaient. Marion enlaça celui qui la faisait rêver depuis si longtemps. Elle était probablement en train de rêver, mais alors, elle ne voulait pas se réveiller. Peut-être était-elle en train de faire une erreur, mais alors, elle ne voulait rien corriger. Maintenant, seul le présent comptait. Seule comptait l’envie de donner, de se donner… et de prendre. Maintenant. Elle goûta la peau avec un appétit tout neuf, les épaules et les pectoraux, le cou et les mains. Oh, les mains ! Les mains d’Hervé lui caressaient le visage avec une délicatesse enivrante, elles passaient dans ses cheveux en vagues stimulantes. Marion ouvrit les yeux, Hervé la regardait, non, il l’admirait, il la désirait, il la couvrait d’un regard où se lisait la soif et la faim. La soif d’amour, la faim d’elle. Non, la faim de son corps et la soif de sexe. C’était égal, Marion n’aspirait qu’à le rassasier et le désaltérer. Affamées et impatientes, leurs langues se rencontrèrent avant que leurs lèvres ne se touchent, elles s’apprivoisèrent immédiatement, elles s’aimaient déjà et se le montraient bien. Elle l’embrassa à pleine bouche au moment où il posa ses mains sur ses jolis seins dont les pointes dressées frétillaient de bonheur. Après avoir ouvert la ceinture de ...