1. Monsieur le directeur


    Datte: 06/01/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme ecriv_c,

    ... balançaient doucement, Marion en recueillit un au creux de sa main. Emmanuelle caressa quelques instants les cheveux de Marion en souriant, puis ses mains se firent plus aventureuses. La poitrine de Marion l’attira, ses doigts effleurèrent les tétons érigés, se promenèrent sur la peau douce des jolis seins offerts à ses caresses. Marion frémit et se cambra légèrement ; la main d’Hervé, avec une impertinente et très audacieuse douceur, venait de descendre le long de son ventre avant de se perdre entre ses cuisses entrouvertes. Lorsqu’il sentit que le baiser s’enflammait vraiment, Hervé se pencha vers les bouches enlacées et invita sa langue à se joindre à la danse. Ce fut Marion qui, la première, l’accueillit dans sa bouche aimante. Avant qu’Emmanuelle ne réclame sa part de butin, qu’elle butina. Marion sentait déjà un premier assaut de jouissance s’emparer de son corps. Une vague sublime irradiait son corps depuis son clitoris que l’index de l’homme titillait en expert. — Hervé, tes doigts sont magiques… murmura Marion.— Sa langue est très bien aussi. Tu aimerais ?— J’aimerai tout ce que vous me ferez. Tout. J’aimerais bien ça aussi… répondit Marion en enserrant entre ses doigts la verge dure de l’homme qui la caressait si bien.— Tu peux avoir les deux, ma chérie… Après quelques instants, Hervé s’allongea sur une mousse. Son sexe était comme un mât de Cocagne entouré d’une broussaille brune. Marion fut prise d’une envie folle d’y grimper pour aller décrocher le gros lot. ...
    ... Ses yeux ne pouvaient s’en détacher. Elle se mit à califourchon au-dessus du visage de l’homme et se pencha pour saisir le pénis irrésistible de tentation. Le premier coup de langue d’Hervé lui arracha un soupir de plaisir. Elle se laissa un instant gagner par les milliers de vibrations exquises qu’il faisait naître à coup de langues et de baisers mouillés et brûlants. Les mains d’Emmanuelle sur ses seins lui attisaient les sens, ses baisers enflammés dans son cou et sur son dos les embrasaient. Pour la seconde fois, elle se délecta du phallus dans sa bouche, le passant sur ses joues, dans ses cheveux, l’embrassant, le mordillant délicatement, avant de l’engloutir encore et encore. La vague de jouissance grossissait en elle comme une lame de fond. Tous ses sens étaient dans le rouge. Chaque seconde était une victoire sur la jouissance, le plaisir, sur l’interdit, sur la folie. Chaque seconde était un hymne à la jouissance, au plaisir, à l’interdit, à la folie. Chaque seconde était un trophée arraché au temps qui n’existait plus. Elle sentit la verge prête à exploser. Alors elle répondit à la question muette qu’Emmanuelle venait de lui poser en l’attirant vers elle pour un baiser langoureux. Marion se releva. Hervé ne bougea pas. Elle surprit comme un léger rictus sur son visage. Il luttait apparemment contre la surexcitation, contre la libération. Elle lui sourit. C’est elle qui était responsable de ça. Elle en tira comme de la satisfaction et de la fierté. — Je crois qu’il ...