1. Un prédateur patient.


    Datte: 07/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... fait montre de bonne volonté, si elle commet des folies, elle sera bonne à cueillir. Le jour où je la coucherai dans mon lit pour la baiser, elle ne s’offusquera pas, elle n’ira pas crier au viol. Elle aura tellement souhaité aboutir dans mes bras, elle aura tellement attendu d’être possédée, elle aura tant rêvé, tant voulu m’appartenir qu’elle recevra comme une grâce ma reddition. Elle croira me vaincre en s’ouvrant sous moi. Finalement j’ai fini par lui recommander une liposuccion. - Oh ! Pas possible. Malgré son corps de rêve ? J’ai failli m’étrangler en pensant à Julie. Qui la pousse elle, dans quel but ? André reprend hilare : - Et ça marche ! Malgré le coût, malgré les douleurs possibles,malgré une nécessaire convalescence, malgré le risque d’un geste maladroit du chirurgien, malgré la crainte d’être défigurée, malgré l’opposition imprudente de son mari, un imbécile radin, elle a trouvé un institut où se faire opérer. - Vraiment? - C’est fou ce qu’une femme est capable d’endurer pour un coup de bite ! Elle doit payer pour m’avoir à elle, on ne m’attrape pas en faisant claquer son pouce contre son majeur. On me gagne ! Je t’apprendrai tout ça. La semaine dernière elle m’a ...
    ... proposé de l’accompagner pour remplacer son mari récalcitrant pendant son voyage en Tunisie. Celle-là, je vais me la faire. Ici où là-bas.Comment ne pas lui accorder une récompense méritée par son désir d‘être belle et désirable? , Elle est déjà bonne à consommer, mais je la laisse mijoter. Dans quelques semaines quand l’opération l’aura rassurée sur son aspect, quand elle sera remise et aura prouvé à son mari qu’elle avait raison de recourir à la chirurgie, il y aura un cocu de plus dans la ville. - Est-ce bien honnête ? -Après les bleus, les hématomes et les cicatrices, fière de son nouveau corps, elle viendra me l’offrir « pour me remercier de mes conseils si précieux», dira-t-elle. En réalité elle pensera être devenue irrésistible et je serai obligé de succomber à son charme: il suffit de savoir attendre. Rien ne presse. Et ce n’est ni la première ni la dernière : c’est un art. Je le cultive délicatement. - Tu n’hésites pas à briser des ménages ? - Ces ménages battent de l’aile, le lien du mariage s’effiloche et je cueille un fruit mûr sur le point de quitter sa branche. Je suis un bienfaiteur.Tu apprendras à apprivoiser les femmes mariées plutôt que les demoiselles sources d'ennuis.. 
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