Bal masqué (13)
Datte: 10/01/2019,
Catégories:
Transexuels
... comme ça, les cheveux cachant une partie de son visage, presque un sourire sur ses lèvres, elle devenait plus attirante. Je refermai les yeux, me refis le film de la nuit passée. Mon sexe se dressa. Anaïs bougea, s’étira. Je fis semblant de dormir. Elle s’écarta vivement de moi, comme si la situation la gênait. Elle se leva et sortit de la chambre en fermant la porte. Je me précipitai pour écouter la conversation. — Bonjour ma fille. Bien dormi ? — Oui, très bien dit-elle. — Et la soirée ? — Oui aussi. Le ton disait clairement qu’elle ne souhaitait pas vraiment poursuivre la discussion, pour ne pas dire l’interrogatoire. — J’ai vu la voiture de Sarah devant la porte. Y a un problème ? — Non, aucun. Elle a jugé qu’elle n’était pas en état de conduire et qu’elle avait peur de tomber sur un contrôle de police. Je pouffai. Anaïs mentait mieux qu’un arracheur de dent. Joëlle n’insista pas. J’attendis encore cinq minutes avant de faire mon entrée dans la cuisine, juste vêtue de mon string qui ne cachait pas grand-chose. Anaïs rougit violemment et manqua de s’étouffer. — Désolée, dis-je, je n’ai rien trouvé pour m’habiller. Joëlle éclata de rire. — Je suis fière de toi, dit-elle en faisant un bisou sur le front de sa fille. Reste-là, ajouta-t-elle pour moi, je vais te chercher un peignoir. Anaïs me lança un regard noir. — Alors, c’était bien ? demanda Joëlle — Maman ! s’indigna Anaïs. Il ne s’est rien passé. Qu’est-ce que tu vas imaginer. — Oh mais je n’imagine rien. Je constate. En ...
... rentrant cette nuit, j’ai vu la voiture de Sarah, je vous ai vus dans le même lit. Alors, jusqu’à preuve du contraire, un plus un égale deux. Anaïs redevint pivoine. — Oui bon ça va, capitula-t-elle. On a couché. Ça te va ? — Et c’était bien ? Anaïs baissa la tête. — Oui, répondit Anaïs d’une petite voix. — On dirait que tu as honte. Il ne faut pas. Il n’y a rien de honteux à prendre du plaisir. D’ailleurs tu devrais recommencer après le petit-dej’. Anaïs haussa les épaules. Je pris mon café. Anaïs nous laissa pour aller se doucher. — Tu peux me prêter une culotte et une paire de bas ? demandai-je à Joëlle — Oui bien sûr. Je les mettrai avec tes affaires. Va la rejoindre. Anaïs n’avait pas fermé la porte de la salle de bains. Elle était déjà sous la douche et ne m’avait pas entendue entrer. Je la rejoignis sous le jet d’eau. Elle sursauta en me voyant. — Qu’est-ce que tu fais là ? s’indigna-t-elle. Je ne répondis pas. Je la pris dans mes bras et l’embrassai. Elle me repoussa mais je résistai. — Non pas maintenant ? J’ai pas envie ! — L’envie, ça se provoque parfois, dis-je. Elle me repoussa encore. Mais je sentis moins de force. Mon sexe se dressa. Je pris sa main et la posai dessus. Elle me regarda, presque apeurée. — Caresse-moi, dis-je. A mon tour, je posai ma main sur son sexe poilu. Et humide. La douche n’y était pour rien. Elle me branla maladroitement. Je m’accroupis et embrassai son sexe. — Qu’est-ce que tu fais ? demanda-t-elle, presque paniquée. — La même chose que ...