1. Les invitations du patron (1)


    Datte: 14/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... souriait pas. Il se tint derrière elle. Il était si près qu’elle devait sentir la queue dressée contre son cul. Les filles avaient défait leur bandeau. Tout le monde matait. Il lui souffla de défaire sa tresse. Puis il divisa les cheveux en deux parties à peu près égales qu’il passa sur la poitrine. Puis, il descendit la fermeture éclair et la robe s’affala sur le sol. Inès fermait les yeux. Les dessous rouges en dentelle éclataient de couleur sur le pâle épiderme. Il susurra quelques mots. Tout le monde avait le regard tendu vers le couple. Il y allait précautionneusement, avec lenteur et délicatesse. Il dégrafa le soutien-gorge et le lança au public. Les cheveux cachaient les gros boops mais la respiration haletante en soulignait les traits. Lentement il écarta les cheveux pour dévoiler comme un mystère les rondes mamelles qui apparurent dans leur blancheur et leur forme parfaite L’aréole et le tétons, beaucoup plus foncés que la peau en accentuait la majesté. Il y eut des commentaires "Ouf ! Mate-moi ça. Putain ça c’est du lourd. Tu ne dois pas te demander quoi faire le soir Laurent...". J’étais et fier et gêné. Il se rapprocha, passa ses mains très noires sous les siens. Le contraste était saisissant et notre excitation progressait vite. Les cinq mecs encore "habillés" caressaient leur bite avec l’envie de la sortir entièrement quand elle n’émergeait pas déjà de maigres pièces de tissu. Il pelotait en effleurant à peine. Toujours yeux fermés, les bras le long du corps, ...
    ... les jambes serrées, Inés ne disait rien mais respirait de plus en plus fort. Millimètre par millimètre, il se rapprocha des pointes. Du bout des doigts il les titilla, puis les passa entre deux doigts enfin les recouvrit de sa paume, et il se mit à serrer les doudounes plus fort, puis à relâcher la pression pour, de nouveau exciter les extrémités désormais dardées à bloc. Des mecs commençaient à s’impatienter. "Aller plus vite, grimpe là... c’est à nous". Mais lui s’y prenait avec prudence. Il faut dire qu’il commençait à être payé en retour. Peu à peu ma femme se détendait. Les muscles se relâchaient, le visage était moins crispé et les lèvres s’était entrouvertes. Elle penchait sa tête légèrement en arrière à la recherche de celle de l’homme et ses bras, toujours le long du corps, se balançaient imperceptiblement, les doigts chatouillaient timidement la peau des cuisses. Alors, toujours avec la même circonspection, il descendit sa main droite vers le pubis. Quand il l’eût atteint, il emmêla ses doigts dans les poils. Son autre main se faisait plus insistante sur le sein gauche et il déposa un premier baiser et, comme elle ne résista plus, il continua. Les femmes avaient toutes plongé leurs mains dans leur chatte et se doigtaient en attendant de pouvoir nous tripoter la nouille pour la deuxième partie du concours dont Joakim, vainqueur de la première manche, pouvait seul donner le départ. Nos queues appelaient la chatte. Celle du comte débordait largement du body, droite, ...
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