Dolce Vita 8 - Suite et fin
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
extracon,
alliance,
nympho,
bizarre,
caférestau,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
... ami ! Ce soir, c’est relâche pour moi ! Freddy confirma d’un hochement de tête. — Puis-je t’inviter à prendre un verre ailleurs ? questionna timidement Balou. Nous serions plus tranquilles… qu’en penses-tu ? Marie lui envoya son plus beau sourire et accepta son invitation. Balou avait envie de mordre dans ce fruit mûr qu’étaient les lèvres de Marie. Il imaginait déjà embrasser cette bouche si sexuelle. Il se raisonna et la guida avec courtoisie vers sa voiture. Ils prirent l’apéritif dans un bar cubain où résonnait la musique afro-cubaine qu’adorait Marie. Cela étonna Balou, qui se disait que, décidément, cette jeunette de vingt-trois ans le surprenait vraiment ! Marie se livra progressivement. Elle lui raconta sa vie de petite fille, dans le Connemara, ses études à Shannon, ses premières amours, et son arrivée en France, favorisée par son adorable oncle Freddy. Le courant passait bien entre eux. Balou osa lâcher également quelques bribes intimes sur sa vie récente et passée. Il parla surtout de son boulot, de la vie dans une grande entreprise, choses qui intéressèrent Marie, pour la recherche d’un job. Ensuite, il lui raconta son séjour en Irlande, où il logeait dans les « bed and breakfast », il y avait presque dix ans de cela. Il fit rire Marie à plusieurs reprises, en racontant ces pérégrinations de noctambule à Belfast. Balou était impressionné par la quantité de punch que pouvait avaler Marie. Il savait par expérience que les Irlandaises tenaient la boisson mais là, ...
... tout de même, il en avait à nouveau la preuve vivante ! L’heure tournait : 21 heures. Ils n’avaient pas vu le temps passer. Balou se sentait bien en compagnie de cette demoiselle et, à priori, elle également. Dehors il commençait à neiger, ce qui l’inquiéta un tantinet. Marie le devança en annonçant : — Bon, t’as vu, il neige ! Si tu veux, je nous prépare un petit plat irlandais pour nous tenir chaud. Ça te dit ?— Avec plaisir, ma chère ! Je te suis, s’entendit dire Balou. En ce 28 décembre, la température descendait à -10°. L’air glacial fouetta le sang de Balou. Cette température polaire donnait aussi des joues roses à Marie. Elle était si belle, avec ses longs cheveux roux en cascade sur ses épaules, et son teint de rose. Marie habitait au troisième étage d’un immeuble sans ascenseur. La montée des marches fut ponctuée de rigolades. La chaleur de la cage d’escalier, après le froid sibérien du dehors, avait dû renforcer les conséquences alcooliques du punch sur le comportement de Marie. Le studio était aménagé avec soin, décoré aux mille couleurs vertes de l’Irlande. Une kitchenette donnait sur la chambre à coucher, qui servait aussi de salon. L’œil expert de Balou remarqua cela immédiatement. Il trouvait cette fille désirable. Tout à l’heure, dans le bar, leurs mains s’étaient frôlées à plusieurs reprises. Leurs regards également se trouvaient attirés l’un vers l’autre. — Sers-toi une bière, si tu veux. Je m’occupe du repas en vitesse. Balou ôta son loden et sa veste. En bras ...