Dolce Vita 8 - Suite et fin
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
extracon,
alliance,
nympho,
bizarre,
caférestau,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
... de chemise, il partit à la recherche du frigo, qu’il dénicha évidemment dans la kitchenette. Balou dut se glisser entre le placard et Marie pour accéder au sacro-saint frigo. En se tortillant, il frôla de son bas-ventre les fesses rebondies de Marie. Elle gloussa et dit : — La promiscuité est parfois porteuse de surprises agréables… Elle regarda Balou de ses yeux verts et confirma : — T’es un sacré mec, toi ! D’autres gars auraient déjà profité de la situation. Balou déglutit. Il se sentait gauche, avec sa bière à la main. Mais il reprit son contrôle en répondant : — Ma maman m’a bien élevé, très chère. Ils éclatèrent de rire ensemble, puis trinquèrent à la galanterie, qui se perdait de nos jours. Marie s’était débarrassée de son blouson d’aviateur. Balou admirait les divines courbes de son corps. Ses yeux s’attardèrent sur sa généreuse poitrine qui pointait obstinément à travers la robe. Ensuite, son regard fut captivé par la rondeur de ses fesses, qu’il devinait toujours sous cette satanée robe longue noire. Il imagina ensuite les cuisses fuselées et blanches qui se trouvaient en-dessous, ainsi que son ventre plat, qu’il aimerait embrasser. — Dis donc ! C’est un examen de la marchandise que tu fais ? Cette remarque tira Balou de sa rêverie. Il rougit, tel un puceau pris en train de se masturber. À vrai dire, il l’était, puceau, depuis presque six mois, oui. Tant de semaines sans aimer une femme, sans pénétrer dans un ventre doux et chaud… — Hein ? Quoi ? Que dis-tu ? ...
... Marie laissa la cuisinière. Elle se rapprocha de Balou, qui se tenait debout dans l’embrasure de la porte, se planta devant lui et dit : — Embrasse-moi, idiot ! Elle lui prit le verre et se colla contre lui. Balou se dit qu’il rêvait : il tenait dans ses bras cette rousse déesse qui le faisait fantasmer depuis leur première rencontre… Leurs bouches enfin se trouvèrent, leurs lèvres se soudèrent, leurs langues exécutèrent une sarabande infernale. Marie sentit battre contre son ventre le désir de Balou. Elle désirait cet homme, si différent de tous les autres. Son ventre brûlait d’amour. Elle voulait qu’il soit en elle rapidement. Son abricot d’amour était déjà luxueusement humidifié par l’excitation. Elle sentait l’odeur de son partenaire, ses mains musclées lui caressaient les hanches, puis les fesses. Ensuite, la bouche de Balou s’aventura au creux de son cou, ce qui déclencha un exquis frisson dans tout son corps. Elle adorait les bisous dans le cou. Un tapis de laine épaisse trônait par terre. Ils se retrouvèrent allongés. Balou la déshabillait adroitement mais délicatement. Elle sentait ses mains de mâle expérimenté la caresser, lui ôter un à un ses vêtements. Marie se laissait faire. Elle se retrouva complètement nue, couchée, cuisses écartées, Balou agenouillé entre elles, à lui prodiguer une caresse fabuleuse avec sa bouche. La langue de son amant la rendait folle. La douceur de cet organe qui la pénétrait, la suçait, son agilité, la firent crier de joie. Elle sentait le ...