1. Du monde au balcon


    Datte: 14/01/2019, Catégories: fh, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fdanus, nostalgie,

    ... Véronique s’accroche à moi, plaquant furieusement son corps contre le mien. Sa bouche dévore mes lèvres ; elle aussi est très ardente ! Je donne de grands coups pour mieux entrer en elle, pour mieux la ressentir, la posséder, la prendre entièrement. C’est totalement frénétique, bestial, mais c’est si bon ! Mes doigts capturent sa cyprine qui dégouline autour de ma colonne plantée en elle. Mes autres doigts se rivent sur son sein martyrisé. Puis, me décidant, je viens taquiner d’un doigt englué sa petite rondelle. Elle réagit positivement en m’embrassant plus encore, en se soudant à moi. Encouragé, je m’introduis juste à l’entrée. Nos bouches se détachent dans un long filet de salive. Le regard trouble, elle dit : — T’es un petit salaud, toi…— Et toi, tu es une sacrée allumeuse ! Nous nous embrassons sauvagement à nouveau. Vicieusement, je force son entrée arrière, plongeant la moitié de mon doigt dans son étroite intimité tandis que ma queue carambole dans son autre accès détrempé. Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps ; j’aurais aimé qu’elle jouisse avant moi, mais je crois que ça ne va pas être possible ! J’enfonce complètement mon doigt en elle, bien calé dans son sombre couloir chaud. Elle étouffe contre mes lèvres un petit cri. Elle en étouffe d’autres quand je commence à pistonner à son tour son entrée des artistes tandis que je continue mes va-et-vient infernaux par-devant. Elle s’arrache à mes lèvres et vient planter ses dents dans la courbe de mon cou ...
    ... ; j’en profite pour lui mordiller vicieusement l’oreille. Soudain, c’est la déflagration ! Comme un volcan qui explose, de longues coulées de lave qui débordent ! Ma bite éclate dans son vagin brûlant ; mon sperme remplit ses moindres cavités, lourd, torride, poisseux. Ses dents toujours plantées dans ma peau, elle gémit de plaisir tandis que je pousse de longs râles, me vidant complètement en elle. Nous restons là, fatigués, rompus, mais heureux de cette scène de sexe primaire, éprouvante mais très bienfaisante. Véronique halète contre moi tandis que je la serre précieusement ; nous récupérons petit à petit. C’est elle qui rompt le silence, levant le nez : — T’es un petit salaud, toi !— Tu te répètes, ma Pupucette…— T’es franchement un petit salaud, tu sais !— Sans doute… Mais toi, comme allumeuse, tu vaux ton pesant d’or ! Elle ne répond rien, se laissant bercer entre mes bras, mais son sourire et ses yeux brillants parlent pour elle. Lors du retour, Véronique est intarissable ; tout ça lui a beaucoup plu. Elle m’annonce qu’elle va rester habillée de la sorte durant tout le week-end et que je pourrai éventuellement abuser "un peu" d’elle. Bien sûr, je lui donne aussitôt ma bénédiction : mettez-vous à ma place ! --oOo-- Non, pas de grande folie dans ce récit, juste le souvenir d’une étape non négligeable dans nos relations naissantes, ce moment si fragile où une femme commence à basculer et que finalement, elle aime ça, osant l’admettre, balayant ainsi des années de carcan. ...
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