Les yeux grand ouverts
Datte: 16/01/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... tension parce qu’il jouait sur mes tétons dressés. Il m’a relevée de ses mains sur ma taille. Il embrassait mon ventre creusé en caressant mes cuisses et remontait ses mains sur mes fesses, plongeait son nez dans ma toison et embrassait mes lèvres gonflées. Il m’a allongée près de lui et a enlevé son slip, repoussant mes mains et étouffant sous ses lèvres mes protestations parce que j’aurais voulu finir de le déshabiller moi-même et a roulé sur moi, m’ouvrant les cuisses de ses genoux. J’attendais sa lenteur à me découvrir, ses caresses, il en a décidé autrement et passée une seconde de surprise, je savais qu’il avait raison, que c’était exactement ce que j’attendais de tout mon corps qui s’est tendu vers lui. Sans hésitation, sans aucun tâtonnement, ses mains sous mes épaules et sa bouche au creux de mon cou, mes jambes levées autour de sa taille, son sexe a trouvé le chemin du creux de mon ventre où il s’est planté d’une seule poussée lente jusqu’à ce que nos ventres se collent l’un à l’autre. Il n’a interrompu sa poussée, et je ne l’aurais pas laissé faire autrement, l’attirant en moi de toute la force de mes jambes, mes talons plaqués fort contre ses fesses, que lorsque son pubis s’est collé au mien, son sexe tout au fond de mon ventre, presque douloureux. Comment il a su que j’étais prête, que les caresses étaient inutiles, que depuis bien longtemps, avant même qu’on ne vienne dans la chambre mon sexe était mouillé de mon désir de lui, mon envie de sa verge tout au fond ...
... de mon ventre ? Il l’a su, comme il sait toujours deviner ce dont j’ai envie avant même que je le lui dise. J’ai fini par lui demander comment il devinait si bien mon désir, et il souriait aussi grand que quand il m’avait surprise de ce qu’il comprenait de tout ce qu’il entendait. Il souriait aussi grand mais un peu gêné en se touchant le nez « tu te trahis, ma chérie, comme le tout premier jour ». J’étais fâchée, honteuse que mon odeur corporelle puisse être assez prononcée pour qu’il la perçoive, plus troublée et dérangée par son odorat que par son ouïe. Pendant quelques temps après j’abusais de parfum comme à un autre je me serais cachée sous des vêtements épais. Il est resté immobile un long moment en noyant mon cou de baisers et de mots murmurés, son torse pesant sur mes seins, et ensemble nous avons commencé à bouger, de lentes bascules des reins accordées. J’ai su. J’ai su ne pas avoir besoin d’une main entre nous comme souvent je le faisais pour me caresser et arriver à l’orgasme. Souvent il interrompait ses coups de reins en sortant presque de mon ventre, à chaque fois m’arrachant une plainte frustrée, et chaque fois mon ventre se crispait autour de lui pour le retenir. C’est très rare, je pourrais compter sur les doigts d’une seule main les fois où j’avais joui d’une pénétration, sans que mon amant ou moi ne touche mon clito, et c’est bien dommage, parce que ces orgasmes-là sont tellement plus profonds, plus accomplis. Lui m’a offert ça, sans jouir lui-même. Ni l’un ...