1. Le musée des curiosités


    Datte: 21/01/2019, Catégories: ff, frousses, couple, douche, Oral humour, québec,

    ... T’as pas honte de regarder mes boules comme ça ?— Non ! Elle éclata de rire en s’approchant et m’enlaça pour mefrencher longuement. Sa petite langue pointue semblait bien décidée à combattre la mienne, et farouchement. Je bandais déjà, même si je venais de me vider les couilles une heure plutôt, les mains plaquées sur son beau derrière sentant ses seins lourds écrasés contre moi, mais que je n’osais palper pour le moment. Elle giflait trop bien, la dame. — Hum ! fit-elle en reculant la tête et se léchant les lèvres tout en frottant mon sexe par-dessus mon jean. Tu bandes toujours aussi vite, toi. Là, je pensai au mauvais sort vaudou qui visiblement ne fonctionnait pas. Hi ! Hi ! — Je n’ai pas de mérite, quand une beauté pareille vous frappe et vous frenche ! Et votre parfum… Wow ! Ses petits yeux bruns se plissèrent et un sourire s’épanouit sur sa jolie bouche couverte d’un rouge pâle superbe. — Mon parfum, il est allemand et de grande renommée ! Cadeau d’un admirateur, un moine.— Pardon ? Elle rit amusée de ma surprise. — Ben quoi, Paul, les pauvres moines isolés dans les montagnes, ils fabriquent de la bière, prient, se gèlent les couilles et s’ennuient, alors… J’en ai réchauffé quelques-uns.— Pourquoi ça ne m’étonne pas ?— Je ne sais pas, fit-elle moqueuse. Tu devrais y emmener Marie, c’est magnifique là-bas ; l’Allemagne, la Suisse, le Danemark, et…— Et les moines. Mais Popa ne prend pas l’avion.— Une croisière c’est très romantique, mon beau, surtout pour des nouveaux ...
    ... mariés. Hum ! Elle me lâcha et jeta un coup d’œil aux alentours en repoussant ses longs cheveux derrière ses oreilles. — C’est toujours aussi morbide, ici. Cette maison-là me faisait peur jeune fille surtout quand on devait dormir là-haut. Je préférais faire pipi dans un pot de chambre la nuit plutôt que de me promener dans les couloirs remplis de bêtes empaillées et de squelettes. Comme ça, vous vous mariez sans m’inviter, dit-elle en me pointant du doigt comme si elle sermonnait un écolier. Ce n’est pas gentil ça, mon petit Paul. J’étais revenue de voyage, pourtant.— On s’est mariés au bout du monde sur un coup de tête, ma tante, en Abitibi, dis-je penaud. Et puis c’était dans le nord alors y faisait froid, des oies sauvages nous on attaqués pendant la réception à l’extérieur et… Même si elle n’était que la tante par adoption de Marie, je l’appelais ma tante tout naturellement. — Ouais, Ouais, Marie m’a tout raconté ça, et bien. C’est elle qui se douche là-haut, j’imagine ? demanda-t-elle en regardant le grand escalier droit débordant de babioles. Il y en avait sur chaque marche le long de la rampe ; des statuettes incas, toltèques, olmèques, des bonzaïs, des pots remplis d’ossements d’animaux, quelques crânes humains, des bouquins, des pierres gravées, etc. Sans parler des nombreux tableaux accrochés aux murs. Les ancêtres et des paysages de Montréal des 18e et 19e siècles. Des huiles, des sérigraphies et des aquarelles, certaines de peintres renommés et une huile de moi que ...
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