1. La correspondante asiate de Marie (3)


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... situation imaginaire de délire masturbatoire, mais la réalité. Il se sentit soudainement honteux d’éprouver quelque orgueil à avoir meurtri sa belle. D’autant que la très craquante façon de s’exprimer de Samaryl l’attendrissait follement : — Comment on dire le pussy en français ? Le vagin ? — Ce sont les médecins qui parlent comme ça. Ou les professeurs de biologie. Tu peux dire la « chatte », mais c’est trop vulgaire. La « moule » c’est encore pire. Le « trou » pareil : c’est juste affreux. Le « con » c’est trop littéraire. Alors tu n’as qu’à utiliser « pussy ». C’est plus mignon... — Et ça ? demanda-t-elle en caressant le sexe du garçon qui grossissait à vue d’œil. — C’est une grosse lance d’incendie, pour éteindre le feu ! Le feu qui brûle dans les pussy ! lança-t-il joyeusement en faisant jaillir sa verge hors de son slip. Samaryl fronça les sourcils : — Pas faire amour ce soir ! Moi déjà dire à toi ! Puis elle esquissa un sourire espiègle : — Par contre, tu pouvoir regarder, mais pas toucher... Enfin je vouloir dire : pas toucher mon corps, mais ton lance d’incendie tu peux ! Alors elle se leva et sans quitter des yeux Jean-Edouard ôta gracieusement ses vêtements puis son soutien-gorge et sapetite culotte. Ensuite, elle alla s’asseoir en tailleur à l’autre bout du lit et écarta les lèvres de son sexe en prenant un air vicieux. Puis elle commença à caresser délicatement son clitoris en observant Jean-Edouard qui se masturbait doucement. Puis Samaryl présenta ses fesses ...
    ... au garçon. Elle avait des jolies petites fesses toutes potelées, sans le moindre bouton, hormis une chair de poule passagère. Elle se retourna pour voir l’effet que cette vision sublime produisait sur son amant : — Tu bien aimer ce que tu vois ? susurra-t-elle d’une voix suave. Jean-Edouard ne répondit pas : il était au bord de l’apoplexie. Ses yeux semblaient sur le point de rouler hors de leurs orbites et sa langue pleine de bave pendait comme celle d’un clébard en rut. Il loucha sur le trou du cul de sa partenaire qui était serré et très propre. Il eut envie d’y glisser des suppositoires et de bien pousser avec le doigt ! Et sa chatte : une petite fente aux contours réguliers et sans le moindre poil à l’exception de la courte toison pubienne. Samaryl approcha ses fesses du visage congestionné du garçon. Celui-ci, n’y tenant plus, tendit le cou et déposa un baiser sur l’anus de la belle. Il y passa la langue. Le sentit se contracter. Y introduisit un index et entama un lent mouvement de va-et-vient en imaginant qu’il s’agissait de la petite bite d’un lutin en train de sodomiser la belle. Jean-Edouard enfonça son doigt en entier et éjacula une quantité monstrueuse de sperme en poussant un long grognement étouffé. * Samaryl rejoignait Jean-Edouard toutes les nuits. Le garçon progressait rapidement. Il apprenait de nouvelles façons de faire l’amour et s’était habitué à prendre sa partenaire en levrette. Malheureusement, Samaryl souffrait beaucoup de la taille de sa queue et ...
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