Alter ego
Datte: 14/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
prememois,
inithf,
... une cocotte. Il paraît qu’il y a plusieurs hommes, plutôt âgés, qui passent régulièrement chez elle. Mais j’ai dû lui plaire et ça l’a certainement excitée de savoir que j’étais puceau…— Et tu sais son petit nom ?— Oui, elle s’appelle Noémie…— C’est joli. Alors, raconte ! Il me tend les avirons et commence son récit. Comme il a une excellente mémoire, il me décrit toute la scène en détail. Comment elle lui a retiré ses vêtements, comment elle-même s’est dénudée. La chaleur, la douceur, l’odeur de sa peau. Le galbe de ses seins et sa surprise devant l’excitabilité de l’aréole et l’érection du téton sous ses doigts et sa langue. La douce forêt de son mont de Vénus. Avec force détails, il m’a décrit tout ce qui est caché derrière ces poils et comment il fallait passer la main, effleurer, flatter, amadouer, exciter, bécoter, décalotter, lécher, suçoter, titiller. Il m’a exposé toute cette connaissance nouvelle qu’il avait du sexe féminin. Quant à l’acte lui-même : — C’est indescriptible, vois-tu. C’est chaud, brûlant même, c’est humide, tu es enveloppé, aspiré, massé. Tes reins vivent d’eux-mêmes et puis c’est un feu d’artifice, ça explose de tous les côtés, tu es assailli par une nuée de fusées de toutes les couleurs. Mais, tout ce que je peux dire, c’est largement en dessous de la vérité. Je n’ai pas le vocabulaire qu’il faudrait ni l’art de raconter ; il faut le vivre pour savoir vraiment ce que c’est. Je tremble d’excitation, je viens de vivre la scène avec lui mais il ...
... subsiste dans mon esprit un vague sentiment de frustration. Voyant cela, Edmond me reprend les rames et, vigoureusement, il remonte le courant qui nous avait entraînés assez loin vers l’aval. Pendant tout ce temps, nous restons silencieux. Le sourire béat qu’il affichait me disait bien qu’il revivait, encore une fois, toute cette scène. Moi, je rêvais à la chance qu’il avait eue mais qui me sourirait certainement aussi un jour. Nous avions rejoint le groupe des canots quand, d’une barque proche arrive un appel : « Edmond ! ». Un garçon me regarde en souriant et me fait des signes. Là-dessus, Edmond sort de sa rêverie et se retourne. Nous ne pouvons nous empêcher d’éclater de rire devant l’air ahuri du garçon, yeux exorbités et bouche béante. Voyant sa tête, la jeune fille qui l’accompagne se retourne et, elle aussi, se fige de surprise. — Hello Émile, crie Edmond. Il se tourne vers moi : — C’est un camarade de classe avec sa sœur.— Hello Edmond, mais… tu t’es dédoublé !— Je te présente mon frère Henri, tu sais, celui qui prépare Normale Sup’.— Oh, tu m’avais bien dit que vous étiez jumeaux, mais… à ce point-là ! Voici ma sœur, Amélie. Après quelques congratulations d’usage, nous décidons d’accoster et d’aller boire une limonade à la baraque de rafraîchissements. Nous nous installons à une table, à l’ombre d’un saule, et je vais acheter les boissons au comptoir, Amélie m’accompagne tandis qu’Émile et Edmond discutent du lycée. Amélie est une gentille fille toute pimpante dans sa ...