1. Le sommeil des ours


    Datte: 31/01/2019, Catégories: fff, frousses, Collègues / Travail bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral init,

    ... avec la crème depuis qu’elle avait remarqué les frissons que cela provoquait chez moi. Léna, elle, ne semblait jamais se lasser de masser mon arrière-train. Ni d’appuyer entre les deux fossettes en bas de mon dos, ce qui me faisait invariablement me cambrer, et dans le même mouvement convulsif écarter les cuisses. Le « bouton ouverture facile » disait-elle en riant. Pour ma part, je m’étais décidée à accepter ce petit jeu tel qu’elles voulaient le jouer. Je ne cherchais plus vraiment à cacher mon excitation, puisque c’était clairement ce qu’elles souhaitaient obtenir de moi, et commençais à prendre de plus en plus de plaisir, même inassouvi, à leurs caresses. Et j’espérai toujours que l’une d’elles se décide à me faire jouir une bonne fois pour toutes. Sans compter que l’envie commençait à me démanger sérieusement de goûter moi-même aux délices saphiques, en partie « pour voir », et en partie parce que les viles tentatrices paradaient leurs corps magnifiques sous mes yeux, chacune superbe dans son propre style. Léna, rousse et voluptueuse. Grande, forte, opulente avec ses cuisses musclées, sa bouche gourmande et ses seins généreux. Louise, fine et élancée, avec son ventre brun parfait, son sourire mutin et ses yeux noirs ensorceleurs… Elles me rendaient folle. Et pourtant, le reste du temps se passait comme si de rien n’était. Nous marchions, de préférence de bonne heure le matin et tard en fin de journée, afin d’éviter le soleil qui pouvait être brûlant à cette époque de ...
    ... l’année, nous installions le camp, lisions, cuisinions, jouions, plaisantions. Le soir, mes compagnes s’endormaient comme des souches pendant que je restais éveillée, les mains entre mes cuisses, à soulager le désir insoutenable qu’elles avaient éveillé à l’heure de la sieste. ********** Quelques jours s’écoulèrent de cette manière, jusqu’à ce qu’enfin, nous arrivions à notre but, le camp fixe tant attendu. Effectivement l’endroit était parfait. Une petite clairière offrait à la fois ombre et clarté, avec un charmant ruisseau pour l’approvisionnement en eau fraîche. Les filles commencèrent à s’installer comme si elles étaient chez elles, et comme j’avais pris dans les derniers jours les habitudes de la parfaite campeuse, je me mis moi aussi au travail. Une fois le camp monté, Louise annonça que puisque nous avions bien marché – nous avions même un jour d’avance sur notre programme – la journée du lendemain serait consacrée au farniente. Une journée entière à buller, le bonheur. Le lendemain Louise m’éveilla, me sembla-t-il, aux aurores. Pourquoi se lever si tôt, si le but de la journée était de ne rien faire, cela me dépassait, mais Louise avait l’air décidée, et elle n’était pas le genre à qui l’on refuse. Je la suivis donc dans la clairière. Elle ne me laissa pas le temps de m’habiller, et même me débarrassa elle-même de ma chemise de nuit puisque n’étant pas encore bien réveillée je mettais beaucoup trop de temps à son goût. Depuis les brumes de ma conscience encore endormie, ...
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